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« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »
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mardi 21 octobre 2014
jeudi 2 octobre 2014
Tutoriel - Benito nous explique comment réduire la dette nationale en moins de 5 minutes
La semaine prochaine, Tonton Adolf nous expliquera comment convaincre un industriel de ne pas délocaliser en lui insérant un P38 entre les dents. Vivement!
lundi 28 juillet 2014
jeudi 19 juin 2014
Italie - Le Dalaï-lama dénonce l’immigration excessive
Alors que la population italienne est de plus en plus exaspérée par l’arrivée massive de clandestins sur son sol, la plus haute autorité spirituelle du Tibet, en visite dans la province de Pise, a tenu des propos forts peu politiquement correct à propos de l’immigration.
« Quand les immigrés sont trop nombreux, il faut aussi avoir le courage de dire que ça suffit » a en effet déclaré en substance le Dalaï-lama.
Répondant à une question d’un journaliste sur la situation à Lampedusa, le grand défenseur de la liberté et de l’identité tibétaine a précisé :
«Nous savons bien que les immigrés fuient des situations difficiles, mais le bon cœur ne peut pas suffire à les accueillir tous et nous devons avoir le courage de dire quand ils sont trop nombreux et d’intervenir dans leur pays pour y construire une société meilleure. Une simple politique d’accueil ne pourra jamais suffire pour résoudre ce problème . Il faut entamer une réflexion à long terme pour obtenir une solution vraiment efficace »
Commentant ces déclarations, Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord, a pour sa part affirmé: « Sur la question de l’immigration, le Dalaï-lama a exprimé des idée très claires, pour être honnête, plus claires que celles du pape François qui semble sous-estimer l’impact que l’invasion des immigrés peut avoir sur les structures d’un pays comme le nôtre. »
« Quand les immigrés sont trop nombreux, il faut aussi avoir le courage de dire que ça suffit » a en effet déclaré en substance le Dalaï-lama.
Répondant à une question d’un journaliste sur la situation à Lampedusa, le grand défenseur de la liberté et de l’identité tibétaine a précisé :
«Nous savons bien que les immigrés fuient des situations difficiles, mais le bon cœur ne peut pas suffire à les accueillir tous et nous devons avoir le courage de dire quand ils sont trop nombreux et d’intervenir dans leur pays pour y construire une société meilleure. Une simple politique d’accueil ne pourra jamais suffire pour résoudre ce problème . Il faut entamer une réflexion à long terme pour obtenir une solution vraiment efficace »
Commentant ces déclarations, Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord, a pour sa part affirmé: « Sur la question de l’immigration, le Dalaï-lama a exprimé des idée très claires, pour être honnête, plus claires que celles du pape François qui semble sous-estimer l’impact que l’invasion des immigrés peut avoir sur les structures d’un pays comme le nôtre. »
Source : Novopress
samedi 14 juin 2014
mercredi 11 juin 2014
vendredi 25 avril 2014
lundi 1 avril 2013
Italie - Entre 4 et 5 ans de prison requis pour racisme sur Internet
En novembre dernier, dans le cadre de la grande offensive de Mario Monti et de son ministre Riccardi contre « les sites Internet à contenu raciste, xénophobe et antisémite », la police italienne identifiait et arrêtait le responsable et les modérateurs de Stormfront Italia, la section italienne du forum américain Stormfront.org. Tous quatre sont toujours en détention provisoire. Comme l’avait alors souligné le Corriere della Sera, «c’est la première fois en Italie qu’est prise une mesure de ce genre, sur la base de délits idéologiques ».
Le procès s’est ouvert jeudi devant la première cour d’assises de Rome. La liste des parties civiles est impressionante. On y trouve bien sûr la communauté juive de Rome, dont le président, Riccardo Pacifici, quoique très occupé ces temps-ci par sa campagne contre Beppe Grillo, « plus dangereux que les fascistes » selon lui, a tenu à assister au procès « en signe de respect pour le procureur, qui a coordonné l’enquête ». Mais se sont aussi constitués parties civiles, entre autres, le directeur de l’Agence nationale contre les discriminations raciales de la présidence du Conseil, trois juges du tribunal de Palerme, le ministère de l’Intérieur et même la présidence du Conseil (toujours occupée, en l’attente d’un nouveau gouvernement, par Mario Monti).
Le procureur, Luca Tescaroli, a requis contre les accusés, Mirko Viola, Diego Masi, Luca Ciampaglia et Daniele Scarpino, des peines comprises entre 4 ans et 10 mois et 4 ans et un mois de prison, outre des sanctions financières et l’interdiction d’occuper un emploi public. Dans son réquisitoire, il a souligné que les accusés représentaient « le noyau dur d’un terrible groupe criminel » et que « leur arrière-plan culturel a été à la base des événements tragiques qui ont récemment (sic) marqué l’Europe ». Le procureur, tout comme les avocats des parties civiles, a insisté pour qu’aucune circonstance atténuante ne soit accordée aux accusés. « Ce procès, a déclaré Daniele Stoppello, avocat d’une des parties civiles, est destiné à faire époque parce qu’il permettra de démontrer qu’il ne peut et ne doit pas y avoir d’impunité sur Internet pour ces individus qui propagent des idées basées sur la haine raciale, en offensant les juifs et les homosexuels ».
L’un des accusés, Daniele Scarpino, a demandé la parole pour lancer un appel au juge. « Je demande, a-t-il dit, à être traité comme n’importe quel citoyen italien, qui a le droit d’être réinséré dans la société. En prison, ce n’est pas possible. C’est pourquoi, si je suis vraiment une personne dangereuse, je voudrais être rééduqué ». Son avocat a même évoqué « la possibilité que Scarpino se mette à la disposition de la communauté juive ». « Il est prématuré d’en parler, a répondu le juge, il doit d’abord y avoir condamnation ». La sentence sera rendue le 8 avril.
Source : Novopress
samedi 23 février 2013
mardi 19 février 2013
dimanche 3 février 2013
Italie - le juge Imposimato accuse le Bilderberg
Dans un ouvrage paru début janvier, La Repubblica delle stragi impunite. "I documenti inediti dei fatti di sangue che hanno sconvolto il nostro Paese (La République des massacres impunis. Les documents non publiés des événements sanglants qui ont secoué notre pays)", le juge Imposimato accuse l’OTAN d’avoir organisé les attentats qui ensanglantèrent l’Italie dans les années 80.
Le juge Ferdinando Imposimato est connu pour avoir instruit aussi bien l’assassinat du président du conseil Aldo Moro que la tentative d’assassinat du pape Jean-Paul II. Il a été l’un des principaux juges anti-mafia et est devenu président honoraire de la Cour de cassation. Il a été élu à la Chambre des députés sous l’étiquette Parti de la gauche démocratique, puis au Sénat.
Le magistrat publie notamment un document de 1967 montrant l’implication du Groupe de Bilderberg, un club rassemblant les personnalités les plus influentes pour défendre les intérêts de l’OTAN.
Source : Voltairenet.org
Source : Voltairenet.org
mardi 15 janvier 2013
lundi 7 janvier 2013
Italie - Acca Larenzia - Commemoration du 7 Janvier 1978
Le 7 janvier 1978 en sortant d’une réunion de la section du Movimento SI de Via Acca Larenzia à Rome, trois jeunes nationalistes essuient un feu croisé d’armes automatiques. Franco BIGONZETTI (20 ans) et Francesco CIAVATTA (18 ans) sont blessés à mort. Vincenzo SEGNERI, blessé au bras, parvient à rentrer et à refermer la porte blindée. Il décédera durant son trajet à l’hôpital.
Aussitôt la nouvelle diffusée, les camarades accourent vers la section. La tension est à son comble. L’indifférence et l’arrogance des journalistes présents dépassent toutes les limites.
Un journaliste de la RAI jette par mépris (ou par distraction) son mégot dans la flaque de sang de Francesco. La réaction des camarades présents est immédiate. Les forces de l’ordre chargent et lancent des grenades lacrymogènes.
Stefano RECCHIONI, militant du Fronte della Gioventù, est blessé par un projectile tiré par le Capitaine des carabiniers. Il décédera deux jours plus tard à l’hôpital. Le massacre est revendiqué par les Noyaux Armés du Contre-pouvoir territorial au nom de “l’antifascisme militant”. Les membres présumés du commando furent tous acquittés pour insuffisance de preuves. Depuis, les camarades romains commémorent chaque année l’anniversaire du massacre.
vendredi 4 janvier 2013
Italie - Les comptes fantastiques des immigrationnistes concernant les violeurs étrangers
« Il était horrible, sans dents, le visage défiguré par des cicatrices ». C’est ainsi qu’une des dernières victimes de viol à Milan, une commerçante de 42 ans, a décrit son agresseur, Mohamed K., 32 ans, un clandestin irakien déjà condamné pour vol et pour coups et blessures. La semaine dernière, alors qu’elle était sortie voir une amie pour régler leurs préparatifs de Noël, Mohamed K. l’a poursuivie dans la rue, rattrapée dans un jardin public où elle avait tenté de se réfugier, jetée par terre, rouée de coups, et violée sur place aux cris de « Sale pute italienne », avant de s’enfuir en lui volant son portefeuille. Le carabiniers ont pu le retrouver et l’arrêter – il avait encore le portefeuille sur lui. La victime est à l’hôpital.
Ce fait divers ayant été commenté sur Internet, les immigrationnistes sont évidemment montés au créneau. Le blogue Un altro genere di communicazione, « contre le sexisme, l’homophobie et toutes les inégalités », a publié par exemple un article passablement hystérique sous le titre « Les auteurs de viols ne sont pas immigrés, mais italiens ! » Se référant à des chiffres publiés en 2009 par le ministère de l’Intérieur, selon lesquels 60% des auteurs de viols étaient de nationalité italienne, l’immigrationniste dénonce « la propagande anti-immigration du centre droit ». « Mais qui se cache derrière les racistes qui font porter encore une fois la responsabilité des actions violentes sur les immigrés ? Ce pourraient être les auteurs mêmes de violences, qui continuent à nier que le phénomène de la violence sur les femmes est enraciné dans notre culture, en faisant porter la responsabilité de leurs actions aux minorités comme les immigrés ». Vous avez compris, si les femmes italiennes sont violées, c’est de la faute des racistes italiens qui, du reste, n’en veulent aux immigrés que parce qu’ils veulent violer tout seuls. L’immigrationniste l’écrit en toutes lettres : « Il me semble que la défense des femmes contre les viols dérive d’une culture qui revendique la possession de ses propres femmes, au cri implicite de “nos femmes, c’est nous qui les violons” ».
L’immigrationniste oublie que, en 2008, année sur lequelle portent les données publiées, les étrangers représentaient 6% de la population italienne masculine (leur part est aujourd’hui montée à 7%). C’est-à-dire que 94% des hommes commettent 60% des viols, et 6% en commettent 40%. Il suffit dès lors de faire le calcul [(40/6)/(60/94] = 10. Le rapport est de 1 à 10 !
Un calcul plus précis, en chiffres absolus, sur la population concernée par ce type de délits (les hommes de 14 à 80 ans) avait donné exactement la même proportion : le taux de « criminalité sexuelle » pour les Italiens est d’environ 2 sur 10.000, pour les étrangers de 20 sur 10.000. Précisons qu’est seule prise en considération la nationalité : sont comptés comme Italiens tous les immigrés ou descendants d’immigrés ayant obtenu la nationalité italienne !
Source : Novopress
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dimanche 9 décembre 2012
Italie - Une loi mémorielle liberticide dans les cartons de Monti
Alors que l’Italie est au bord du chaos économique et social, le gouvernement de Mario Monti démontre une nouvelle fois un curieux sens des priorités.
En effet, celui qui, comme le résume le Figaro, « est très impopulaire dans la population mais toujours très apprécié des marchés », cherche à faire adopter de toute urgence par le parlement le projet de loi 3511/12 qui criminalise quiconque « nie la réalité, l’importance ou le caractère génocidaire des crimes de guerre définis par le tribunal du Nuremberg ».
Une loi qui encadrerait donc légalement la recherche historique et qui se révèle presque identique aux lois Gayssot-Pleven que nous connaissons en France.
Ce projet suscite l’inquiétude des défenseurs de la liberté de recherche et d’expression qui se refusent à admettre que ce soit la loi qui détermine la vérité historique, évoquant notamment le cas du massacre de Katyn indûment attribué aux allemands lors des procès de Nuremberg. Mais le principe de cette loi semble déjà avoir été validé par la majorité des partis institutionnels transalpins, de droite comme de gauche.
Source : Novopress
mardi 4 décembre 2012
vendredi 30 novembre 2012
mercredi 21 novembre 2012
samedi 6 octobre 2012
vendredi 31 août 2012
Italie - La Casapound manifeste pour le charbon italien et l’autonomie européenne
C’est symboliquement devant le siège de la représentation de la Commission européenne en Italie, à Rome, que ce sont rassemblés aujourd’hui les militants du mouvement Casapound, renversant quelques sacs de charbon devant l’entrée du bâtiment.
La centaine de militants a alors déployé une grande banderole, sur laquelle on pouvait lire “Défendre le charbon italien, Autosuffisance européenne“, afin d’exprimer leur solidarité avec les mineurs italiens qui manifestent pour leur droit au travail. L’action visait également à dénoncer la politique de l’UE, qui interdit les aides d’État au secteur minier italien alors qu’elle autorise les subventions à la production de charbon allemand et confère des millions de subventions au secteur financier.
Les manifestants ont pu avoir un échange avec le commissaire européen Antonio Tajani à qui les cadres de Caspound ont demandé d’intervenir pour sauver l’avenir de la production italienne de charbon, mais le vice-président de la Commission a expliqué que les mines de Sulcis n’étaient plus concurrentielles et avaient seulement un avenir dans « l’archéologie industrielle » avec la possibilité d’une exploitation touristique.
Une perspective jugée inacceptable par les manifestants qui exigent la défense du secteur de l’énergie italien et l’emploi. La crise actuelle des mines italiennes est causée par la faiblesse des prix du charbon importé, en particulier de la Chine où les conditions de travail sont médiévales et où l’on compte des milliers de morts chaque année dans des accidents.
Selon Simone Di Stefano, vice-président de Casapound Italia, « il faudrait une subvention de l’État aux petites exploitations de charbon domestique (de à peine 5 à 10 millions par an) pour couvrir la différence de prix de notre production par rapport à la concurrence. Et ensuite les activités du secteur permettrait de recueillir des impôts et taxes beaucoup plus importantes que les montants nécessaires des subventions publiques. »
Mais l’Union européenne prétend interdire les « aides d’État» qui « fausseraient la sacro-sainte concurrence » alors que les mines de charbon allemandes continuent d’être financés par l’État pour une production annuelle de 28 millions de tonnes (en Sardaigne ne sont produites qu’environ 100 000 tonnes).
Caspound Italia refuse ce « deux poids/deux mesures » et déclare que « le gouvernement libéral de Monsieur Mario Monti est un gouvernement démissionnaire, à la tête baissée, qui se laisse ridiculiser sur la scène européenne. »
Casapound se bat pour promouvoir un État qui sache imposer à l’Union européenne le respect de ses intérêts nationaux et l’égalité entre les travailleurs européens. Casapound refuse par ailleurs la concurrence déloyale du charbon non-européen qui est basée sur l’esclavagisme et la mort de travailleurs.
Source : Novopress
Source : Novopress
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