« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »
Affichage des articles dont le libellé est Libye. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Libye. Afficher tous les articles

jeudi 25 septembre 2014

Français, ne laissez pas votre colère aveugler votre jugement!


Nos élites nous fabriquent une belle psychose sur le terrorisme et l'Islam en utilisant toutes les méthodes déjà connues. Contrairement à ce que croient les idiots ces deux psychoses préfabriquées ne résoudront en rien nos problèmes mais justifieront plus d'assimilation, plus de laïcité, plus de lois liberticides. Je le répète, les guerres fabriquées par l'Oligarchie n'apporteront aucune solution à nos problèmes vitaux, mais visent bien à nous empêcher de les traiter.
Laurent Ozon


vendredi 23 mai 2014

Le chef de la fausse révolution libyenne admet que Kadhafi n’a pas tué de manifestants



Les Etats-Unis, (la France et la Grande-Bretagne, ndt) et l’OTAN ont mis fin à la laïcité en Libye et ont porté des extrémistes islamistes au pouvoir, qui ont commis de nombreux crimes, y compris massacrer des milliers de Libyens noirs immédiatement après la destruction du régime de Kadhafi.

Mustafa Abdul Jalil, président du Conseil national de transition à Benghazi en 2011, admet : Kadhafi n’a pas ordonné la fusillade qui a été à l’origine de la fausse révolution en Libye. Maintenant, après la destruction de la Libye, Jalil avoue au monde sur Channel One que les manifestants qui ont été tués à Benghazi qui ont été le prétexte fourni à l’ONU et à l’OTAN pour attaquer la Libye ont été tués par un groupe d’espions et de mercenaires qui n’étaient pas de Libye. Il admet qu’il savait la vérité à l’époque mais cela a été fait pour abattre le gouvernement libyen et briser l’Etat. Il admet qu’il a été informé à l’avance que cela allait se produire et que les gens de la Libye n’ont pas reconnu les manifestants morts parce qu’ils portaient des vêtements civils et qu’il n’y a eu personne qui est venu à leurs funérailles comme ils n’avaient pas de parents ou d’amis en Libye.

Comme nous l’avons dit depuis Février 2011, la soit-disant révolution en Libye était sous fausse bannière. Le peuple libyen pour la grande majorité était heureux et vivait en sécurité. Les groupes extrémistes islamiques étaient illégaux en Libye. Maintenant la Libye est contrôlée par des groupes extrémistes islamiques (d’Al-Qaïda, le Groupe islamique combattant de la Jamahiriya (GICL), les Frères musulmans, Ansar Al Sharia et autres). Le pays est divisé, il n’y a pas de sécurité, des milliers de personnes ont été illégalement emprisonnées et des centaines torturées à mort. Il n’ya pas de gouvernement, il n’y a plus de ventes de pétrole, plus de 2 millions de personnes sont toujours en exil, les psychopathes ont pris le pays et il est maintenant considéré comme un « Etat ​​gris » – sans frontières et sans gouvernement.

Source : Réseau International



Sarkozy, BHL et tout vos chiens de garde : Vous savoir en vie est un supplice!

mardi 29 janvier 2013

Thierry Meyssan - Hollande a peur de ses armées

Nicolas Sarkozy et François Hollande utilisent les armées françaises pour satisfaire des intérêts privés ou étrangers. Ils ont envoyé des hommes à la mort pour voler le cacao de Côte d’Ivoire, les réserves d’or de Libye, le gaz de Syrie, et l’uranium du Mali. La confiance est brisée entre le chef des armées et des soldats qui se sont engagés pour défendre la patrie.

Craignant que des militaires ne tirent sur le président de la République, le service de sécurité de l’Élysée a fait neutraliser les armes, lors de la cérémonie des vœux annuels (base d’Olivet, 9 janvier 2013).

Les aventures militaires de Nicolas Sarkozy et François Hollande en Afghanistan, en Côte d’Ivoire, en Libye, en Syrie et maintenant au Mali sont très vivement discutées au sein des armées françaises. Et l’opposition qu’elles rencontrent est arrivée à un point critique. Quelques exemples :

En 2008, alors que Nicolas Sarkozy venait de modifier la mission des soldats français en Afghanistan pour en faire des supplétifs des forces d’occupation états-uniennes, le chef d’état-major de l’Armée de terre, le général Bruno Cuche, refusa d’y envoyer des chars Leclerc. La crise fut si profonde, que le président Sarkozy profita du premier fait divers pour contraindre le général Cuche à démissionner.

En 2011, c’était au tour de l’amiral Pierre-François Forissier, chef d’état-major de la Marine, d’exprimer publiquement ses doutes sur l’opération en Libye qui, selon lui, éloignait les Forces françaises de leur mission principale de défense de la Patrie.

En 2012, le général Jean Fleury, ancien chef d’état-major de l’Armée de l’air fut encore plus explicite pour affirmer que la France n’a ni la vocation, ni les moyens d’attaquer la Syrie.

Au cours des cinq dernières années, la conviction s’est installée parmi la plupart des officiers supérieurs —souvent des catholiques très pratiquants— que la puissance des armées françaises a été détournée par les présidents Sarkozy et Hollande au service d’intérêts privés ou étrangers, états-uniens et israéliens.

Ce que confirme l’organisation même des récentes opérations extérieures. Depuis 2010, la plupart d’entre elles ont échappé au commandement du chef d’état-major des armées, l’amiral Édouard Guillaud, pour échoir au commandement du général Benoît Puga, depuis l’Élysée.

Ce parachutiste, spécialiste des Opérations spéciales et du Renseignement, incarne à la fois la dépendance à Israël et le renouveau du colonialisme. C’est lui qui supervisa, en Égypte, la construction du Mur d’acier qui termine de clôturer la Bande de Gaza et l’a transformée en un ghetto géant.

On sait que Nicolas Sarkozy n’aimait pas le contact des militaires. François Hollande, quant à lui, les fuit. Ainsi, lorsqu’il s’est rendu au Liban pour enjoindre le président Michel Sleimane de soutenir la guerre secrète en Syrie, le 4 novembre dernier, il n’a pas jugé bon d’aller saluer le contingent français de la FINUL. Cet outrage n’est pas à mettre sur le compte du dédain, mais de la crainte du contact avec la troupe.

La crise de confiance a atteint un point tel que le service de sécurité de l’Élysée craint que des militaires n’attentent à la vie du président de la République. Ainsi, le 9 janvier, lors de la présentation des vœux présidentiels aux Armées, sur la base du 12e régiment de cuirassiers d’Orléans, l’Élysée a exigé la neutralisation des armes. Les percuteurs des fusils d’assaut et des mitrailleuses ont été retirés, ainsi que les platines des pistolets. Les munitions ont été confisquées et stockées dans des sacs plombés. Une telle mesure n’avait pas été prise depuis la crise algérienne, il y a une soixantaine d’années.

Lorsque François Hollande déclarait : « La communauté militaire est une famille, avec les actifs et les réserves (…) j’en connais la stabilité, la solidarité et j’apprécie aussi le sens de la discipline, de la cohésion et même de la discrétion », le comportement de son service de sécurité démentait ses propos. Le président a peur de ses armées. Il se défie de ses soldats, car il sait ne pas pouvoir justifier des missions qu’il leur assigne.

Cette crise ne manquera pas de se développer si le président de la République poursuit dans sa volonté d’étendre les opérations secrètes à l’Algérie. Or, depuis la suspension de la conscription obligatoire et la professionnalisation des armées, de nombreuses recrues sont issues de familles musulmanes originaires d’Algérie. Elles ne manqueront pas de réagir avec émotion à une recolonisation rampante de la patrie de leurs parents.

mercredi 18 juillet 2012

Syrie - Le ministre de la Défense tué dans un attentat + Interview de Thierry Meyssan sur la géo politique actuelle du Proche Orient

Un attentat-suicide de grande ampleur a frappé ce matin le siège de la Sécurité nationale syrienne, tuant le ministre de la Défense, le général Daoud Rajah (au centre de la photo ci-dessus). La nouvelle de la mort du général a été confirmée par la télévision syrienne. Naturellement, d’autres victimes sont à signaler : on sait que le ministre de l’Intérieur, Mohammed al-Chaar, le chef de la Sécurité nationale le général Hicham Ikhtiar ont été blessés. Selon le média russe Russia Today et la chaîne Al-Manar, le beau-frère de Bachar et vice-ministre de la Défense, Assef Chawkat, aurait été tué lui aussi, Le bâtiment est situé dans le centre-ville, dans le quartier de Rawda.

  
Un épisode d’une vaste offensive

Le général Daoud Rajah avait été nommé ministre de la Défense en août 2011. De confession chrétienne, il était aussi vice-président. Il avait dirigé les récentes manœuvres combinées de l’armée syrienne.

Politiquement, cet attentat est évidemment le plus grave qui ait été commis en Syrie depuis le début de la crise. Et il intervient alors que l’ASL dirige une offensive – d’une efficacité plus médiatique que militaire – contre Damas. Alors, évidemment on se demande quelle officine, ou quel pays se trouve derrière cette agression sans précédent. Al-Qaïda ? C’est possible, mais la nébuleuse d’al-Zawahari, effectivement déjà à l’oeuvre dans le pays peut avoir bon dos : dans le combat à mort entamé contre la Syrie, par tous les moyens obliques possibles, par les États-Unis et ses alliés du Golfe, on ne peut exclure l’action de la CIA ou d’autres services. L’attentat est intervenu au moment d’une réunion d’un « conseil de sécurité » auquel participaient, outre des ministres, des chefs militaires et policiers. Et ou accessoirement, l’accès aux informations de l’agence Sana est à nouveau indisponible

Il est évident qu’à défaut de pouvoir renverser politiquement et militairement le pouvoir, les rebelles et leurs alliés cherchent à le décapiter. Et, bien sûr, Bachar al-Assad est sur la liste.

Bien sûr, l’opposition se félicite de cette « victoire », la seule qu’elle peut obtenir : sur I-Télé, la « journaliste » franco-syrienne Hala Kodmani, soeur de Bassma Kodmani, dirigeante du CNs et stipendiée des États-Unis et de la Grande-Bretagne, insinuait que cet attentat avait été rendu possible par des « infiltrations » rebelles au plus haut sommet de l’appareil d’État. Ben voyons ! Il s’agit en l’occurrence d’ajouter la déstabilisation et la désinformation au terrorisme.

Le général Daoud sera évidemment remplacé. Et le combat continuera. Malgré le coup sévère reçu, Damas sera purgée de ces bandes manipulées par l’OTAN et le Golfe. Mais la direction syrienne va devoir redoubler de précautions. Ce n’est pas une opposition intérieure qu’elle affronte, c’est une gigantesque tentative de subversion, très partiellement syrienne, qui ne recule devant aucun moyen. Mais nous n’apprenons rien, on le suppose, aux habitués de ce site.

Source : NovoPress

samedi 21 avril 2012

Thierry Meyssan sur les tentatives de déstabilisation de la Syrie et sur l’élection présidentielle française


Mecanopolis : Thierry Meyssan, vous observez la situation en Syrie depuis plusieurs mois pour le Réseau Voltaire. Que pouvez-vous nous dire des dernières évolutions sur le terrain ? 

Thierry Meyssan : Durant un an, la Syrie a affronté une « guerre de basse intensité ». Des milliers de mercenaires, venant de toute la région et ayant une expérience du combat en Irak et en Libye, ont saboté les infrastructures énergétiques et de télécommunication. Puissamment armés par l’OTAN, disposant de renseignements satellitaires, encadrés par des instructeurs occidentaux, ils ont tenté de semer la terreur et le chaos en perpétrant des crimes d’une violence inouïe. Simultanément, les médias occidentaux ont inventé une histoire de révolution/répression que leurs lecteurs et spectateurs ont gobée par assimilation : le schéma tunisien se reproduirait dans tous les pays où les gens parlent arabe.

 Il n’y a pas à ce jour de bilan clair des victimes. La seule source indépendante crédible à laquelle on peut se référer est la Mission d’observation de la Ligue arabe. Elle était majoritairement composée d’experts de haut niveau (officiers supérieurs et diplomates), de nationalités différentes, et a pu librement se déployer dans tout le pays. Selon elle, il n’y a jamais eu de manifestations de masse contre le régime et, partant de là, jamais de répression. Surtout, les groupes armés ont fait autant de victimes parmi les civils que parmi les forces de sécurité (armée et police). Ce constat, qui contredit les assertions des puissances occidentales et du Golfe, a été rejeté par elles, alors mêmes que ce sont elles qui avaient voulu et composé cette Mission d’observation.

 La « guerre de basse intensité » a pris fin avec le retrait états-unien consécutif au double veto russo-chinois et au déploiement des armes anti-aériennes russes. L’OTAN, ayant été contrainte d’abandonner son projet de bombardement de la Syrie, n’avait plus de raison de poursuivre sa stratégie préparatoire au sol. Les derniers combattants se sont retranchés dans un quartier de Homs, où ils ont proclamé l’Emirat islamique de Baba Amr. Durant un mois, ils ont organisé un show télévisé mondial pour faire accroire que leur bastion était « pilloné » par les forces syriennes ; ce qui n’a jamais eu lieu et ne pouvait pas avoir lieu puisqu’un détachement syrien était lui-même prisonnier à l’intérieur de l’Emirat islamique. En définitive, à la suite d’un accord conclu entre Claude Guéant et le général Assef Chawkat, les instructeurs français ont quitté Baba Amr et la plupart des mercenaires se sont rendus.

Comme toujours lorsqu’une guerre est finie, il reste des individus et des groupuscules isolés, animés par un esprit de vengeance, qui causent encore des dommages à la population. Quoi qu’il en soit, progressivement tout revient à la normale. Dans quelques jours se tiendront des élections législatives pluralistes, les premières que le pays aura connues depuis un demi-siècle. Les nouveaux partis politiques découvrent la possibilité de s’exprimer à la télévision et d’animer des débats publics. En définitive, la Syrie sort de cette épreuve appauvrie, mais renforcée.  

Les efforts de l’OTAN pour faire tomber le régime de Bachar el-Assad ont jusqu’ici été mis en échec. Nous imaginons toutefois que cette coalition occidentale ne va pas abandonner ses projets. Quelles seront, selon vous, les prochaines actions de déstabilisation de la Syrie ? 

 En déployant en Syrie le système de défense anti-aérien le plus sophistiqué du monde, la Fédération de Russie a mis fin à la dominance aérienne des États-Unis et d’Israël au Proche-Orient. Or, la puissance des forces armées US repose principalement sur sa capacité de destruction aérienne, les forces au sol ayant montré leur incapacité à occuper un terrain. Washington n’a donc plus les moyens de sa politique.

La présence russe est massive. Il y a aujourd’hui plus de 100 000 ressortissants russes stationnés en Syrie et ce sont des militaires russes qui servent leur matériel de défense anti-aérienne.

 L’équilibre stratégique s’est inversé en quelques années. Washington, qui n’avait pas réussi à entrer en guerre au Liban en 2005, y a livré une guerre par procuration en 2006, laquelle s’est soldée par la cuisante défaite d’Israël face au Hezbollah. Puis, le Pentagone a été contraint d’évacuer en 2011 les gigantesques bases militaires qu’il avait construites pour un siècle en Irak. L’OTAN vient de reculer en Syrie, et il n’est plus question d’attaquer l’Iran.

Bien plus que les États-Unis et Israël, ce sont les régimes arabes sionistes qui sont les grands perdants de cette nouvelle donne. Je pense particulièrement aux dictatures wahhabites d’Arabie saoudite et du Qatar. Je ne suis pas sûr qu’ils puissent survivre longtemps à leur défaite. 

Pouvez-vous nous expliquer en quelques mots quels sont les intérêts que servent l’OTAN dans la déstabilisation de la Syrie, et quel est leur but final ? 

L’OTAN n’a d’alliance défensive que le nom. En réalité, c’est une organisation de supplétifs des États-Unis, au service de leurs ambitions impériales. La décision d’attaquer la Syrie a été prise lors d’une réunion au Camp David, le 15 septembre 2001, juste après les attentats de New York et Washington. Elle faisait partie d’une liste de 7 objectifs, après l’Afghanistan et l’Irak, il était prévu d’attaquer la Libye et la Syrie, puis la Somalie et le Soudan, et enfin l’Iran. Les préparatifs de la guerre contre la Syrie ont débuté après la chute de Bagdad, avec le vote du Syria Accountability Act, le 15 octobre 2003. Immédiatement, les premières sanctions ont été prises. Leur prétexte était que la Force de paix syrienne déployée au Liban pour mettre fin à la guerre civile s’y éternisait. Damas a retiré ses troupes, laissant le pays du cèdre à découvert face à l’ennemi israélien, mais les sanctions ont été maintenues. Depuis, tout a été essayé pour provoquer le conflit. Souvenez-vous par exemple de la manière dont on a accusé, sur la base de faux témoignages aujourd’hui annués, le président Bachar el-Assad d’avoir commandité divers assassinats au Liban dont celui de l’ex-Premier ministre Rafic Hariri. Pour juger el-Assad, les Etats de l’OTAN et du CCG ont alors financé un tribunal d’exception, dont les règles violent les principes les plus élémentaires de la Justice et du Droit international. Et ainsi de suite.

Fondamentalement, la coalition anti-syrienne unit quatre composantes.

- Les États-Unis veulent poursuivre le remodelage du « Moyen-Orient élargi ». Il s’agit pour eux de casser les grands États historiques et de leur substituer de petits États ethniquement homogènes, plus faciles à manipuler. Ils entendent amputer le Nord-Est de la Syrie en vue de la création d’un Kurdistan avec des éléments irakiens, turcs, voire iraniens. Et amputer la côte syrienne pour déplacer le Liban vers le Nord et offrir une partie de son territoire actuel à Israël.

 - De son côté la colonie juive de Palestine vise à briser « l’Axe de la Résistance ». Il lui faut changer le régime, renverser Bachar el-Assad, au profit d’un fantoche, Burhan Galioun, dont le seul programme politique est de rompre l’alliance syrienne avec le Hezbollah et l’Iran, ainsi qu’il l’a lui-même expliqué au Wall Street Journal.

- En ce qui les concerne, les dictatures religieuses du Golfe ont, pour survivre, un besoin vital d’éliminer le modèle laïque syrien. Celui-ci est très différents de ce que nous connaissons sous le même vocable en Europe, particulièrement en France. La laïcité syrienne n’est pas une cohabitation, une tolérance, entre communautés religieuse —et encore moins un cache-nez du racisme comme elle tend à le devenir en Europe , mais une véritable coopération entre croyants pour garantir la liberté de chacun de s’épanouir spirituellement en suivant la foi de ses ancêtres.

- Enfin, les multinationales de l’énergie convoitent le gaz de la région. On a découvert des réserves considérables en Méditerranée sous la croute de sel, et dans le continent. Ces gisements sont partagés entre l’Egypte, la Palestine occupée, le Liban, la Syrie, la Turquie et Chypre, mais leur centre se trouve à Qârâ, non loin de Homs. Nous venons en fait d’assister à la première grande guerre du gaz qui préfigure de nouvelles règles géopolitiques bien différentes de celles du pétrole. C’est aussi la raison pour laquelle, les grandes puissances du gaz sont si impliquées : la Russie, l’Iran et le Qatar.

 En embarquant la France dans cette aventure, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ont cherché à satisfaire chacune des quatre composantes de la coalition ; Paris n’ayant aucun intérêt direct au conflit. La France a cru pouvoir jouer un rôle en tant qu’ancienne puissance mandataire, et monnayer ce rôle. Cependant, l’espoir de la victoire a laissé place à la réalité de la défaite et les Français vont être surpris de devoir payer la facture des crimes commis en leur nom.

 Plusieurs mois après l’intervention de l’OTAN en Libye, pouvez-vous nous dire quelle est la situation dans ce pays, et qui le dirige ? 

Personne ne gouverne la Libye. Et personne ne pourra la gouverner avant longtemps. J’avais expliqué lors de l’assassinat de Mouammar el-Khadafi, mort sous la torture un jour après l’attaque de son convoi par les Français, que la disparition du « Leader » marquait l’anéantissement de la notion d’autorité dans une société tribale. Le but recherché a été atteint : la société libyenne est détruite, comme on a détruit la société en Somalie et en Irak.

 Les partisans du « remodelage » ont étendu leur stratégie à l’Afrique du Nord. La contagion gagne maintenant le Mali et menace l’Algérie.

Permettez-moi de répéter qu’il n’y a jamais eu de révolution anti-Kadhafi en Libye, qui était apprécié par son peuple et n’a jamais envisagé de le massacrer. Par contre, il y a eu une sécession de la Cyrénaïque à l’initiative de la France et du Royaume-Uni pour le compte des États-Unis et d’Israël. On se dirige maintenant vers une partition du pays : rétablissement de la monarchie Senussie en Cyrénaïque, installation des Frères musulmans en Tripolitaine, et repli des anti-impérialistes au Fezzam.

En France, nous approchons du premier tour de l’élection présidentielle. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon se sont auto désignés comme les candidats de l’antimondialiste. Pensez-vous qu’ils le soient réellement ? 

Si nous abordons la question des programmes politiques, nous devons la penser en termes de partis, d’équipes, et pas de personnes. A l’inverse, si nous parlons des candidats, nous devons juger leur personnalité, leur compétence et leur vertu républicaine.

 Je ne doute pas que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon soient antimondialistes, mais l’important est de savoir si leurs équipes le sont. Les positions du Front national et du Front de gauche sont généralement anti-mondialistes, mais souvent ambiguës et parfois contradictoires. Seul des deux, le Front national a condamné les aventures militaires de Nicolas Sarkozy en Afghanistan, en Côte d’Ivoire, en Libye et en Syrie, mais il entretient un flou artistique à propos des États-Unis et d’Israël. Il est clair pour moi que le Front de gauche, malgré les efforts de son candidat, n’est pas anti-mondialiste. Je suis par contre dubitatif quant au Front national qui a soigneusement évité de clarifier en son sein cette question centrale. 

 Notre ami et camarade Pierre Hillard s’apprête à lancer, dans la continuité du texte d’Adrien Abauzit, un « appel à l’abstention » pour le deuxième tour de cette élection qui, sauf surprise, consacrera un duel entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. L’idée est de donner le moins de légitimité possible au prochain président, de sorte à pouvoir ensuite contester son autorité – qu’il ne manquera pas de mettre au service de l’oligarchie mondialiste. Seriez-vous prêt à le signer, avec d’autres intellectuels français ? 

D’abord, par principe, je me refuse à discuter en public de la stratégie de second tour avant que le suffrage universel ait parlé au premier tour.

Ensuite, je pense que le passage du vote blanc à l’abstention doit être murement réfléchi. Le premier exprime un refus de légitimer le choix présenté, tandis que le second manifeste une volonté de délégitimer les institutions. Nous avons évoqué tout à l’heure la Libye. J’ai vu ce que signifie l’effondrement d’un État, l’anarchie que Hobbes décrivait en disant qu’elle fait de l’homme « un loup pour l’homme », et je ne souhaite pas ce genre chose à n’importe quel peuple et surtout pas au mien.

Je pense comme Pierre Hillard, et certainement de très nombreux Français, que notre République n’est plus laïque, n’est plus démocratique et n’est plus sociale. Mais si nous appelons à délégitimer les institutions, nous ne pouvons en rester là. Nous devons aller jusqu’au bout : la Révolution ! Sommes-nous prêts ?

Source : Réseau Voltaire 

vendredi 2 mars 2012

Libye - Après le passage de l'OTAN, seul le chaos n'a pas trépassé

Les rebelles islamistes amis de BHL mettent en cage les noires :


Ou encore cassent des tombes de soldats chrétiens :


Nous nous rappellerons donc de cette magnifique phrase de BHL : «J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël» 

Voila ce qui attends la Syrie!

jeudi 24 novembre 2011

Bernard-Henri Lévy : «J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël»

Sur contre-info on peu lire :



Vous le savez bien, on nous l’a suffisamment répété, le sionisme c’est la paix. C’est le respect de la souveraineté des nations et l’amour de son prochain. C’est par amour que BHL est parti torse au clair et cheveux au vent guerroyer contre l’oppresseur du monde libre en Libye. Le 20 novembre 2011, lors de la première convention nationale « Demain les Juifs de France » organisée par le CRIF, BHL a déclaré : « J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël ». « C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques ». « Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif ».

A noter que la convention s’intitule « Demain Juifs de France » et non pas « Demain Juif français » par exemple. Le CRIF admet donc implicitement que les juifs habitants en France ne sont pas Français.



Mais le sayan scélérat n'en reste pas là :



Si vous tendez l'oreil vous remarquerez que celui ci dit avoir influencer le quai d'Orsay pour engager la France dans cette guerre.

jeudi 20 octobre 2011

Kadhafi est mort!

Voila c'est officiel, les ennemis de l'OTAN n'ont droit à aucun procès, Kadhafi est mort lynché par la foule. Entre sa et le procès de Nuremberg ... on se demande encore comment notre système peut se venter d'être vertueux!

lundi 26 septembre 2011

Les crimes insuportables de l'OTAN

Tous les bien-pensants de gauche (immigraSioniste) et de droite (financière) n'ont de cesse de venir donner des leçons de morales. Hitler par ci, la Shoah par là. Certain supprime l'histoire de France, mais derrière l'enfumage médiatique, les usurpateurs plongent à nouveau la nation dans une marre de sang illégitime. Face à de telles horreurs les nazis n'ont qu'à bien se tenir.

Attention image choc!


BHL ... tu va faire comment pour jouer au bienfaisant maintenant ? Les français doivent coûte que coûte dégager les sionistes et les politiques inféodés à Israël!!!

lundi 8 août 2011

Crimes du CNT et dissolution de son Gouvernement

Décidément cette guerre en Libye va de fiasco en fiasco. BHL tente par tout les moyens de faire passer sa propagande à un peuple français éreinté par les milliers de problèmes qui lui tombent sur les épaules. Rien y fait, le peuple reste sourd ou contre cette guerre. Préférant des fois se ranger du coté de la propagande par facilité, mais jamais par acquit politique sérieux. Notre gouvernement inféodé par les USA et Israël, est tombé dans le piège. Voila la France dans la merde, une fois de plus!




Les gentils renégats de Benghazi, les amis, oui, revendiqué par notre philosophe national Botul, les alliés de la France « qu’on n’abandonnera pas » dixit Alain de Alopécie le ministre des Affaires étrangères sont vraiment des islamistes qui ont du cœur.Nous l’avions prévu. C’est fait. Moustapha Abdeljalil, le président du Conseil national de transition (CNT), organe politique des renégats de Benghazi, a limogé son gouvernement. C’est le porte-parole des galopins et traîtres à leur Nation, Shamsiddin Abdulmolah, qui l’a annoncé en ces termes:.« Le président du CNT a suspendu le bureau exécutif ». Comment en serait-il autrement ?



Source : Alain Jules

Attention Vidéos choquantes