« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

lundi 13 août 2012

Contre la religion universelle - Les républiques blanches d’Europe

Nous sommes dans une guerre de religion. Les réponses politiques présentées sont par trop imparfaites, limitées et limitatives, trop réformistes pour avoir un impact réel sur notre présent et notre avenir. Sans comprendre la nature de notre lutte, tout espoir de victoire serait vain.


La religion à laquelle nous faisons face est l’universalisme qui présuppose une “évidente” convergence des individus et groupes dans un tout unifié dont le masque politique est le mondialisme. Ce tout se légitime lui-même par l’égalitarisme. Puisque tous sont égaux, tous ont les mêmes besoins. Cet universalisme religieux, millénariste, est strictement matérialiste : son projet est limité dans le temps et l’espace, dans l’histoire humaine. Ce messianisme a un clergé de nature paradoxale : ce sont les états démocratiques adhérant aux nouvelles tables de la loi que sont les “Droits de l’Homme”.

Comme toute religion, l’universalisme a ses sectes. Il y a la secte marxiste, la secte libérale – le canal historique dirons-nous – et ici et là de multiples nuances. Mais le second groupe est très largement monopolistique.

L’ère du libéralisme philosophique, qui promeut la libre détermination des individus dans la stricte dimension terrestre, historique, matérialiste, a par ses infinies sections de partisans, détruit le cœur de toute société en l’éclatant de l’intérieur entre factions. Il n’en reste pas moins, à défaut de réelle unité spirituelle et charnelle, l’espace de la “démocratie” de marché pour que ces sections soient contenues dans un tout unifié. De là est née la guerre civile permanente propre à la démocratie, guerre civile alimentée à dessein par l’oligarchie, la caste des possédants, manipulateurs de la plèbe.

Au quotidien, chaque individu d’Europe occidentale a intégré les nouveaux dogmes de l’ordre universaliste, égalitariste, désaryanisé dont le projet vise à s’étendre aux confins de la terre. Toute défense de l’exclusivité ethnique sur une terre, qui est la condition de toute souveraineté donc de toute liberté, est désormais perçue comme un réflexe aussi incompréhensible que dangereux. Et pour cause ! Quel empire aime-t’il les frontières qu’on lui oppose ?

C’est la puissante condamnation religieuse, c’est à dire l’excommunication de l’ordre “civilisé”, prononcée par un tribunal et la vox médiatique, qui rend possible l’invasion pacifique de millions d’allogènes dans les pays d’Europe. Sidéré, terrorisé, converti, l’Européen admet sa lente disparition et, souvent, se fait le zélateur des nouvelles théories. Il dresse le bûcher sur lequel le barbare va le mettre.

Le clergé universaliste hait en outre tout ce qui témoigne de la diversité du monde, manifestée sur notre continent par le génie spirituel européen, son socle biologique, sa sensibilité artistique. Les canons autorisés de l’art sont issus de la barbarie nouvellement arrivée où le laid le dispute à la haine. Tout vaut tout, et pour cause, puisque l’universel est le dogme absolu. Il n’y a rien qui peut légitimer de rupture fondamentale au sein même de l’espace unifié dans le cœur des démocraties, ce serait contester la légitimité même de la nouvelle religion.

Cette guerre est tournée exclusivement contre les hérétiques du nouvel ordre universel, matérialiste et égalitariste. Ce sont ceux qui croient encore à la coexistence de types d’hommes différents, à ceux qui refusent le jacobinisme racial et philosophique de la nouvelle religion des Droits de l’Homme dont la chambre à gaz est la nouvelle croix.

Face à cette religion de l’égalitarisme total, de la destruction des peuples, des cultures, des nations, de la foi sous le masque bienveillant de l’universalisme démocratique et marchand, doivent se dresser les hommes racés de chaque peuple, race, civilisation.

Et chez nous, à notre modeste échelle, nous devons rejeter les marques de cette religion impie. L’antiracisme, qui est en réalité le front politique de la lutte contre la race blanche d’Europe, en est un prurit. Le cosmopolitisme laïc et obligatoire, la voix de notre réduction en esclavage. Face à la synagogue de l’athéisme pluriethnique qu’est la république française, nous devons répondre nous même par une guerre de religion. Une totalité qui ne négocie rien de ses convictions. Cela suppose de comprendre et d’intégrer une vision totale du monde, tant sur le plan spirituel que sur le plan matériel.

Dès aujourd’hui, c’est à l’édification d’innombrables républiques ethniques en Europe, c’est-à-dire authentiquement européennes et libres, que nous devons travailler et, chez nous, à la nôtre. Nous devons œuvrer à la balkanisation de la France, à l’émergence d’enclaves totalement libérées, à la naissance des républiques blanches d’Europe pour faire mentir le projet du grand melting pot jacobin.

Ne vous laissez pas abuser par des exemples du passé : une république peut faire la taille d’une commune. Ce n’est pas sur sa surface qu’elle repose mais sur ses hommes et leurs principes ! Observez à cet égard les cités grecques ! Nous faisons face à des temps nouveaux qui appellent des solutions nouvelles.

BREIZH pourra reposer sur plusieurs républiques fédérées ! Et ainsi en irait-il en Europe.

Source : BreizhAtao

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