« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

dimanche 8 juillet 2012

La marche triomphante de Lucifer

L’Europe de 2012 ! La dégénérescence bat son plein t'en que le frigo est plein. La chute est inéluctable, Babylone la grande va tomber !
L’exploit paraissait à tous impossible et pourtant, avec effroi, nous le voyons se dessiner à grands traits sous nos yeux : la présidence Hollande sera pire que celle de Sarkozy.

Sur le plan intérieur, François Hollande, à l’instar de son prédécesseur, est un larbin de l’oligarchie financière. Son soutien indéfectible à l’Union européenne le prouve et son silence sur le Pacte budgétaire européen, qui sera traduira en mot d’ordre de ratification, le confirme. Sur le plan extérieur, François Hollande, toujours à l’instar de son prédécesseur, est tout aussi servile : son faux retrait des forces françaises d’Afghanistan (l’armée française partira avec les américains, pas avant), ses prises de position sur la Syrie et son adhésion au bouclier anti-missile ne laissent place à aucune ambiguité. On trouve donc chez Flamby les fondamentaux de la félonie contemporaine : soumission à l’UE et soumission à l’OTAN.

Malgré des fondamentaux identiques, la présidence Hollande sera pire que la précédente. Pourquoi ? Parce que François Hollande est officiellement de « gauche ». Contrairement à Nicolas Sarkozy, officiellement de droite, il doit donc donner l’illusion d’être progressiste. Dépourvu de courage, de patriotisme et d’esprit de justice, il ne s’attaquera évidemment pas au capital. Son seul vecteur de progressisme reste alors le sociétal. Libéralisme-libertaire, quand tu nous tiens !

En effet, en vertu du pacte tacite libéral-libertaire, la « gauche » est libre de détruire les valeurs traditionnelles si elle se rallie au camp du capital. Récemment, le gouvernement nous a dévoilé ce que sera sa première cartouche: le mariage gay.

L’interdiction du mariage gay n’est juridiquement pas discriminatoire

Qu’un individu ne soit pas discriminé ou persécuté en raison de sa sexualité, voilà qui est la moindre des exigences de tout état de droit pour ne pas dire de toute civilisation. Toute haine gratuite est à balayer.A cet égard, il est à noter que l’homophobie n’a jamais été très virulente en France, la vie de cour d’Henri III, la carrière de l’archichancelier Cambacérès ou celle du ministre de l’Education de Vichy, Abel Bonnard, surnommé « Gestapette » par les résistants, sont là pour en attester. Mais si l’homophobie est à bannir, il en va de même de sa petite sœur, née de la haine de soi occidentale : l’homophilie.

Aussi, comme chaque année, s’est avec dépit que votre serviteur a été soumis par des journalistes imbéciles à une vision de l’enfer, soient les images de la gay pride2012, que l’on doit désormais appelerMarche des fiertés. Et c’est avec une irritation mal contenue qu’il entendit la stupide déclaration du premier ministre Ayrault, recordman mondial de l’absence de charisme, juste devant son supérieur hiérarchique et les huitres de Bretagne, sur « le droit au mariage pour tous ».

Cette déclaration laisse sous-entendre quelquechose de juridiquement faux : les homosexuels n’auraient pas le droit de se marier. Faux ! Archi-faux ! Les homosexuels ont parfaitement le droit de se marier ! Mais pas entre eux, soit dans le seul et unique cadre de la famille, c’est-à-dire avec un partenaire du sexe opposé et hors de toute situation incestueuse. La loi interdit simplement de se marier dans un cadre qui serait différent de celui de la famille, tel le mariage entre deux personnes de même sexe ou le mariage incestueux.

Nous le répétons, aucun citoyen n’est privé du droit au mariage et aucune discrimination ne réside dans la prohibition du mariage gay, car comme le dispose l’adage juridique « à situation identique, traitement identique ». Un couple hétérosexuel étant différent d’un couple homosexuel, il est alors normal qu’il y ait différence de traitement.

L’amour, l’attirance physique, la sexualité, n’ont jamais été des critères constitutif du mariage. Juridiquement, tout cela est hors sujet.

Au final, un homosexuel peut parfaitement se marier avec un partenaire de sexe opposé, de même qu’il est interdit à un hétérosexuel de faire un mariage (d’intérêt par exemple) avec un partenaire de sexe identique.

Une extension du droit de propriété

Ne disposant pas des compétences scientifiques requises pour affirmer péremptoirement que le fait pour un enfant d’être élevé par deux pères ou deux mères, voire trois, en cas de « divorce » puis de remariage, puisse avoir des conséquences négatives sur le psychisme de l’enfant, l’auteur se dispensera de le faire.

Mais si l’on admet néanmoins que d’un divorce puisse accoucher un traumatisme psychique, affectif ou d’autres séquelles pour l’enfant du fait de la disparition du socle familiale, qui correspond à avoir un père et une mère, alors il sera difficile ne pas admettre que l’absence de ce socle, de ce référent, sera une douloureuse carence pour l’enfant élevé par un couple homosexuel, dépourvu de l’altérité de base entre les deux géniteurs. Mais qu’importe aux yeux de l’idéologie dominante, puisque seul compte le droit à l’enfant et non les droits de l’enfant.

Le lecteur a bien lu…Le fondement intellectuel de l’adoption par un couple homosexuel serait le droit à l’enfant. Ce droit ne ressemble à aucun autre droit existant puisqu’il consiste à acquérir un être humain. Au mieux, il peut être considéré comme une interprétation extensive du droit de propriété (article 544 du code civil) : « La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements. »

Petite révolution tout de même, ce nouveau droit de propriété s’étend à l’acquisition d’un être humain, alors que l’ancien se bornait aux choses ayant le statut de biens. Attention, il se peut que l’auteur se trompe et que l’être humain soit désormais considéré lui aussi comme un bien, ce qui reviendrait à dire que nous retombons dans le cadre classique du droit de propriété.

L’homme serait donc un bien, une marchandise, « une marchandise pas comme les autres », comme l’a si bien dit le funeste Sarkozy ? Joli coming out. Par le droit à l’enfant, le Système nous confesse ce qu’il désire faire de l’homme : une chose, mise sur le même plan qu’une paire de chaussettes, une fourchette, un canapé, un arrosoir ou une boite de conserve, une chose dont on peut réclamer l’acquisition en cas de manque. Voilà à quoi doit être réduit l’être humain.

Les couples homosexuels souffrant de ne pouvoir concevoir d’enfant, il convient que le législateur corrige cette erreur de la nature, qui voulue que seule soit féconde la sexualité hétérosexuelle, et que soit consacré en droit français le droit à l’enfant.

A titre personnel, l’auteur a rencontré dans sa vie maintes et maintes hommes laids, qui hors cas de prostitution pour les plus fortunés d’entre eux, ne connaitront jamais le bonheur d’obtenir les grâces d’une jolie fille. Assurément, ils en souffrent, dans leur être, dans leur chair, dans leur cœur, dans leur âme, dans leur égo, dans leur estime. Leur souffrance et leur frustration sont absolument indéniables. Faut-il créer pour autant le droit aux jolies filles ? Tous les hommes moches doivent-ils avoir le droit de réclamer devant le tribunal le droit d’obtenir une jolie fille et ses faveurs avec, si la société ou la nature ne le leur fournissent pas spontanément ? Si l’on part du principe que toute souffrance est illégitime et que toute souffrance doit être éteinte par le droit, fut-ce par le recours au droit à un être humain, alors la réponse est oui. Si l’on considère en revanche que l’on ne doit pas placer un être humain sur le même plan qu’un bien, alors la réponse sera non.

Jusqu’à l’abolition de l’esclavage, les esclaves étaient considérés non comme des hommes mais comme des biens meubles. Par une étrange dialectique, le droit à l’enfant nous fait donc revenir à cette antique barbarie. Le Système est prêt à suivre toutes les voies possibles pour dégrader l’humanité.

Une folie anthropologique exigée par le capital

Reste à savoir pourquoi le Système est à ce point favorable au mariage gay. En premier lieu, on évoquera spontanément le lobby gay. Il est vrai que celui-ci est présent dans tous les grands partis, y compris les extrêmes. Mais ceci ne peut pas tout expliquer. Alors pourquoi les médias sont à ce point favorables à cette mesure ?

La raison est simple. Comme toujours avec le système médiatique, ce qui est bon pour le peuple est diabolisé, nazifié et ce qui est mauvais pour le peuple est valorisé. En quoi le mariage gay va-t-il dans le sens de l’oligarchie ? Et en quoi est-il contraire à l’intérêt du peuple ?
Entamons notre explication par une citation d’Althusser :

« Le capitalisme n’a pu fonctionner que parce qu’il a hérité d’une série de types anthropologiques qu’il n’a pas créés et n’aurait pas pu créer lui-même : des juges incorruptibles, des fonctionnaires intègres et weberiens, des éducateurs qui se consacrent à leur vocation, des ouvriers qui ont un minimum de conscience professionnelle, etc. Ces types ne surgissent pas et ne peuvent pas surgir d’eux-mêmes, ils ont été créé dans des périodes historiques antérieurs. »

Du processus historique ici décrit il faut déduire ceci : depuis l’émergence du capitalisme, cohabitent deux anthropologies, l’anthropologie traditionnelle des sociétés et l’anthropologie capitaliste, la deuxième étant venue se greffer sur la première selon nous vers la moitié du XVIIème siècle. Dans ses Ecrits corsaires, Pasolini ne s’y trompe pas et nous décrit à longueur de pages la terreur que lui inspire la « mutation anthropologique » du peuple italien induite par la société de consommation naissante, phénomène que le fascisme même avait échoué à réaliser.

Autant le capitalisme a eu besoin de l’anthropologie traditionnelle pour émerger, autant cherche-t-il depuis au moins un demi-siècle à tuer le père, car la figure paternelle est une entrave à sa domination ultime. L’anthropologie traditionnelle est souvent synonyme d’interdit. Le capitalisme libéral-libertaire s’appuyant sur une permissivité totale en matière de consommation et de production, un tel obstacle est inacceptable. Le capitalisme a besoin d’un être sans valeur, capable de consommer n’importe quoi et de produire n’importe quoi. De surcroît, cet être vidé de toute substance et réduit à l’état de chose inerte et passive, sera incapable de se révolter contre son joug. Une anthropologie dégagée de toute référence traditionnelle est donc le tirage gagnant pour le Système.

Comment alors se débarrasser des valeurs traditionnelles ? Par un moyen très simple : le déracinement. Et pour ce faire, il faut empêcher que les valeurs traditionnelles ne soient transmises de génération en génération.

L’auteur distingue deux vecteurs de transmission des valeurs traditionnelles, la patrie et la famille. Dans le cas français, l’idée de patrie est morte, décrédibilisée qu’elle a été suite au travail de nazification dont elle fut l’objet dans la partie de ping-pong qui opposait les associations prétendues antiracistes et le Front national.

La famille a elle aussi beaucoup souffert, la dernière attaque en date étant l’instauration du droit à la répudiation, pudiquement et technocratiquement rebaptisé « altération définitive du lien conjugal » (article 237 et 238 du code civil).

Le Système a maintenant décrété qu’il était temps de mettre le coup de grâce à la famille. Il faut donc s’attaquer à son cadre, l’union d’un homme et d’une femme (« Et ils deviendront une seule chair », Genèse 2:24).

Sans patrie et sans famille, il deviendra impossible à l’homme moderne de se nourrir des valeurs traditionnelles, ce qui le conduira à être désarmé face aux injonctions du capital. Tel est le portrait-robot de l’esclave moderne.

Une famille sans cadre : l’interdit universel

Mille et une choses distinguent l’ensemble des civilisations que les cinq continents ont engendré depuis que l’Humanité est l’Humanité. Mais il est deux interdits universels que l’on retrouve systématiquement en tout lieu et en tout temps : la prohibition de l’inceste et des unions homosexuelles. Est-ce un hasard ? Probablement pas. Il est à parier que les fondateurs des diverses sociétés ont tous eu le bon sens de considérer qu’une société autorisant ce genre de pratique, se condamnait à mort à terme.


Notons que la prohibition des unions homosexuelles a perduré dans des sociétés extrêmement homophiles, comme par exemple la société grecque antique (lire Platon…).

Donc disions-nous, cette loi universelle n’est pas un hasard. Elle est une barrière contre des dérives que nous qualifions d’anticivilisationnelles.

Car une fois que la famille aura vu son cadre être pulvérisé, au nom de quoi pourra-t-on toujours interdire l’inceste ? On rétorquera qu’homosexualité et inceste n’ont rien à avoir : exact. Mais le principe inspirateur du mariage gay est le même que celui permettant la consécration juridique de l’inceste : l’absence de définition du cadre de la famille.

Une famille sans cadre n’est pas une famille. Et le socle de la famille ne peut être que l’union d’un homme et d’une femme. Qui ne voit pas que revenir sur cela serait ouvrir une porte de plus vers un monde de ténèbres, d’inversion des valeurs, d’anthropologie déréglée et de folie institutionnalisée ? Une large frange du peuple assurément, mais soyons certains que notre classe politique tarée, elle, a parfaitement conscience du mal qu’elle distille. Elle sait ce qu’elle fait. Elle sait très bien qu’en établissant le mariage gay, elle sapera les fondements du peu de civilisation qu’il reste à notre société. Elle sait qu’une telle mesure nous plongera encore plus loin dans le chaos et le désordre. Elle sait le désastre qu’il en résultera et c’est bien pour cela qu’elle plantera sa lame à cet endroit.

La question posée par le mariage gay n’est pas de savoir ce qui ferait plaisir à telle ou telle minorité, mais de savoir sur quelles règles la société entière doit se fonder.

Au moment où l’auteur écrit ces lignes, il apprend avec une véritable horreur qu’un couple de lesbiennes américaines a fait changer de sexe l’enfant qu’il avait adopté. Une telle abomination ne tombe pas du ciel (c’est le cas de le dire). Elle est le produit d’une société proprement luciférienne où la dignité humaine a été anéantie, où l’homme n’est plus qu’un support de chair, malléable à merci, qu’on peut rabaisser plus bas que terre et humilier à l’infinie tant que les pourritures qui nous servent d’ayatollahs du politiquement correct n’y trouvent rien à redire.

La classe politique française se rallie au mariage gay parce qu’elle veut torpiller la France. Ce torpillage est la mission historique que l’oligarchie financière lui a confiée.

Alors, méfiez-vous chers Collabos, oui, méfiez-vous. A trop vouloir détruire la France, objet à vos yeux de dégoût, à trop vouloir l’humilier, il se peut que malgré vous, vous semiez les germes d’une révolution. Méfiez-vous donc, oui, car en France, qui dit révolution dit place de la Concorde. Priez-alors pour qu’à ce moment, le peuple français ait oublié vos noms.


La LDJ soutenue par les Gays ...



... Et les gays soutenues pas les juifs

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire