Avec un cynisme propre aux politiciens du Système, Nicolas Sarközy profite des événements toulousains pour verrouiller encore davantage la dictature du politiquement correct et la marche vers le mondialisme.
En effet, le président a déclaré vouloir mettre en place une série de mesures contre les libertés sur internet et contre les opinions que lui et ses compères n'apprécient pas, sous couvert - comme d'habitude - de sécurité. Il s'agit d'un procédé honteux de manipulation de l'émotion de la population, à la faveur d'événements imprévus ou secrètement provoqués ou favorisés.
Les événements du 11 septembre de 2001 en sont un exemple particulièrement éloquent, ayant entraîné les très liberticides « Patriot Act » aux Etats-Unis et lois Perben en France.
« Désormais, toute personne qui consultera de manière habituelle des sites internet qui font l'apologie du terrorisme ou qui appellent à la haine et à la violence sera punie pénalement », affirme l'occupant de l'Elysée, de même que « la propagation et l'apologie d'idéologies extrémistes seront réprimées par un délit figurant au code pénal, avec les moyens qui sont déjà ceux de la lutte antiterroriste ».
Des propos particulièrement graves qui appellent une mobilisation et une réaction de tous les patriotes français, et au-delà, de tous les citoyens inquiets du flicage et du fichage généralisés. On sait bien que derrière le mot-caméléon « extrémiste », les politiciens et les médias mettent les idées qui divergent fondamentalement des leurs et que le mot « haine » désigne en réalité, pour eux, l'amour de son peuple.
Source : Renouveau Français
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