Hymne à la loi
Mon pays est béni des Dieux immortels
En lui d’innombrables beautés m’appellent
Je contemple avec respect la clarté du ciel
Les vastes prairies d’herbes et de fleurs, les fleuves et le Soleil,
Le grondement des mers et des orages,
L’affrontement des dunes contre les vagues,
Les forêts dans les tempêtes et la nuit,
Le tambourinement de la pluie.
Je songe aux époques lointaines où mes ancêtres se tenaient là
Ils admiraient comme moi les moissons mûrissantes
Les légions des étoiles éternellement scintillantes
Le déroulement de la vie, de la mort au fond des bois
Le mouvement des astres et des saisons
Tout est régi en cycles éternels,
Et la divine force de création
Mêle beauté et combat perpétuel
Les Anciens avaient bien compris que le Monde
est le moulin de la grande Chanson
Et non une « vallée de larmes » sujette au
péché originel ou autre malédiction
Et nos Grands Ancêtres Européens cherchaient le divin dans
La Loi inaltérable et inflexible de la nature,
L’harmonie respectueuse de l’âme s’y soumettant,
Ses innombrables créations belles et pures
Pas dans l’asservissement bi-millénaire
Des doctrines perfides venues d’Orient
De ces fardeaux étrangers décadents
Je fais tables rase de ces chimères
Pour ne plus qu’elles entravent ma spiritualité
Retrouver la vérité issue de mon âme
Je me tiens debout dans la réalité
Pas courbé devant un dieu jaloux, infâme
Mes gènes ne sont pas chrétiens
Mais ceux d’un Européen
Affirmant sa foi en l’éternelle tradition :
L’ordre divin est la loi du monde !
Silence ! Je revois l’innocence du monde
J’entends chanter encore aux vents harmonieux
Les bois épanouis sous les cieux
La force et la beauté de la terre féconde
En rêve sublime habitent dans mes yeux.
Ultimatum, « Jeunes et Européens ».
Source : Du haut des cimes
Mon pays est béni des Dieux immortels
En lui d’innombrables beautés m’appellent
Je contemple avec respect la clarté du ciel
Les vastes prairies d’herbes et de fleurs, les fleuves et le Soleil,
Le grondement des mers et des orages,
L’affrontement des dunes contre les vagues,
Les forêts dans les tempêtes et la nuit,
Le tambourinement de la pluie.
Je songe aux époques lointaines où mes ancêtres se tenaient là
Ils admiraient comme moi les moissons mûrissantes
Les légions des étoiles éternellement scintillantes
Le déroulement de la vie, de la mort au fond des bois
Le mouvement des astres et des saisons
Tout est régi en cycles éternels,
Et la divine force de création
Mêle beauté et combat perpétuel
Les Anciens avaient bien compris que le Monde
est le moulin de la grande Chanson
Et non une « vallée de larmes » sujette au
péché originel ou autre malédiction
Et nos Grands Ancêtres Européens cherchaient le divin dans
La Loi inaltérable et inflexible de la nature,
L’harmonie respectueuse de l’âme s’y soumettant,
Ses innombrables créations belles et pures
Pas dans l’asservissement bi-millénaire
Des doctrines perfides venues d’Orient
De ces fardeaux étrangers décadents
Je fais tables rase de ces chimères
Pour ne plus qu’elles entravent ma spiritualité
Retrouver la vérité issue de mon âme
Je me tiens debout dans la réalité
Pas courbé devant un dieu jaloux, infâme
Mes gènes ne sont pas chrétiens
Mais ceux d’un Européen
Affirmant sa foi en l’éternelle tradition :
L’ordre divin est la loi du monde !
Silence ! Je revois l’innocence du monde
J’entends chanter encore aux vents harmonieux
Les bois épanouis sous les cieux
La force et la beauté de la terre féconde
En rêve sublime habitent dans mes yeux.
Ultimatum, « Jeunes et Européens ».
Source : Du haut des cimes
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