A l’heure où l’UMPS ne cesse de nous parler de « repentance » concernant la guerre d’Algérie et quand certains bienpensants osent nous affirmer qu’il faut cracher sur l’œuvre française en Algérie afin d’être mieux à même d’intégrer certains musulmans en France, il est bon de rappeler ce que furent réellement les méthodes de ceux qui sont aujourd’hui au pouvoir à Alger.
Le témoignage ci-dessus permet de mettre en relief l’idéologie criminogène de ceux vers qui, dans quelques jours, François Le Normal ira faire moult courbettes, jusqu’à renier l’engagement de son père qui, lui, fut un vrai patriote.
André Aussignac, originaire de Bordeaux, militaire appelé en Algérie, fut enlevé par le FLN, après l’indépendance. Il raconte en détail le calvaire inhumain qu’il a subi de la part des fellaghas dans une mine de fer près de Miliana, avec d’autres Français civils ou militaires. André Aussignac était un appelé du 23e RIMa à Alger, il a été déclaré disparu le 21 juillet 1962 par l’armée française dont le chef s’appelait alors Charles De Gaulle.
Source : Action Française
Source : Action Française
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