Une expérience fort intéressante de retour volontaire à l’âge de pierre. Vous remarquerez que beaucoup sont là pour des causes écologiques et pour trouver une alternative au matérialisme. Vous remarquerez également que ces préoccupations pour la terre sont le fait d’Aryens. Ici, pas d’Africains, pas d’Asiates, encore moins de Sémites, peuples qui haïssent la nature et qui nous ont entraîné dans leur folie pour la changer et à sa destruction, notamment à travers la religion du désert. Plus étonnamment point davantage de candidats amérindiens, soi-disant si proches de la Terre-Mère. Dans le reportage, on nous explique qu’ils voient même d’un mauvais œil ces Blancs qui, selon eux, les imitent. En réalité, la plupart des peuples du monde n’aspirent qu’au rêve consumériste avec encore plus d’avidité que nous et ils renient leur culture et leurs traditions très rapidement pour le Veau d’Or de Mammon et de sa secte.
En revanche, ici et là, dans le monde Aryen ou ce qu’il en reste, des hommes et des femmes essayent de trouver des alternatives plus ou moins radicales pour sortir de l’impasse mercantile imposée par la juiverie internationale et ses collabos. L’âme aryenne est profondément ancrée dans la nature et dans l’accomplissement de soi et sans l’une, elle dépérit, sans l’autre elle se morfond.
Ce monde abject au service de l’économie n’est pas le nôtre. L’âme aryenne se nourrie d’héroïsme, de légendes, de rêves et d’action. Si le taux de suicide est si grand dans nos pays industrialisés et malgré le « bonheur matérialiste », c’est que ces conditions n’existent plus dans notre société. La mort est alors parfois préférable à l’humiliation et à la déchéance pour nombre d’entre-nous et notamment pour les jeunes, qui ont soif d’idéal, et qui ne voient aucune issue dans cette morne existence de ronds de cuir.
Source : Tancrède Lenormand
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