A la suite du tremblement de terre qui a frappé le nord-ouest de l’Italie de nombreux italiens ont dénoncé le fait que les structures d’accueil soient « pleines d’africains et de slaves » et de s’y sentir « relégués au second plan ».
En effet, le périodique italien Il Giornale décrit ainsi ces structures d’urgence : « Les entrées des villages de toile sont occupés par des étrangers, nigériens, marocains, égyptiens, slaves, et beaucoup de femmes voilées. La priorité d’accès aux tentes est donnée aux femmes avec des enfants qui sont toutes, ou presque, étrangères. »
Ainsi de Sant’Agostino à Finale Emilia, les villages de toile reçoivent quasiment exclusivement des immigrés.
De leur côté les italiens doivent se débrouiller seuls pour se nourrir et tenter de réparer leurs habitations, certains sont contraints de dormir dans des voitures ou même dehors. Une situation de discrimination « positive » en faveur des immigrés qui rend d’autant plus utile et précieuse l’intervention de la « Salamandre », l’organisme de protection civile de Casapound.
Source : Novopress
Source : Novopress
[...] Après l’affaire de la sauce bolognaise, qui avait déclenché une émeute dans le camp de San Felice, la Gazzetta di Modena rapportait un nouvel incident, toujours dans le même camp, à propos d’une louche « impure ». Il y avait deux plats du jour au choix, poulet et côtelettes de porc, mais une jeune musulmane a fait un scandale parce que le cuisinier lui servait un morceau de poulet avec une louche qui avait touché du porc et qui était donc devenue « impure, contaminée ».
Selon Il Resto del Carlino, un certain nombre de travailleurs immigrés, surtout marocains et roumains, commencent à quitter la région dévastée, qui ne les intéresse plus [...]
Source : Novopress
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