Nous nageons en plein délire, pendant que des révisionnistes sont traqués et jeté en prison pour délit d’opinion, des violeurs et proxénètes sont presque pardonnés par un psychiatre complètement ravagé par l'abu d'humanisme et d'amour du lumpen prolétariat.
Le psy, d’abord, caricature de gauchiste en chemise à fleurs. Les violeurs ? Ils ont vécu ce passage à l’acte « comme un rite initiatique », s’inscrivant « dans un désir d’appartenance au groupe ». Des jeunes certes « intolérants à la frustration » mais, hélas, pas « armés pour anticiper la relation avec cette jeune fille » : ils n’ont donc pas « perçu la contrainte situationnelle » – par groupes de dix dans une cave, à la lueur des téléphones portables : on goûtera l’artistique minimalisme du qualificatif.
Source : Valeurs Actuelles
D'ailleurs un rapport de l'ONU peut venir un peu éclaircir la raison d'un tel verdict :
La Division [Division nationale de la police chargée de la répression des atteintes aux personnes et aux biens] a indiqué qu’elle avait découvert l’existence de liens très étroits entre des individus impliqués dans la pornographie [infantile] et, dans certains cas, des membres du corps judiciaire. [...] nombre d’adultes sur lesquels elle [Brigade des mineurs] avait enquêté pour possession et distribution d’images pornographiques avaient des relations sociales très influentes [...] les individus accusés de commettre des abus étaient étroitement liés à des membres de l’appareil judiciaire ou à des individus occupant de hautes fonctions dans l’administration publique [...] Le Rapporteur spécial tient à recommander à nouveau qu’un organe indépendant mène de toute urgence une enquête sur les carences de la justice à l’égard des enfants victimes de sévices sexuels et des personnes essayant de les protéger.
Source : ONU-France2004.PDF
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