Philippe Schmidt, vice-président et expert Internet de la LICRA (de grands humanistes cela va s'en dire) balance de sombres fumisteries pour pas changer de leur ligne perfide.
( …) En effet le filtrage a posteriori implique la responsabilité éditoriale du média, et exige une réactivité immédiate. On ne peut pas laisser des horreurs une demi-journée entière en dessous d’un article, et cela nécessite une certaine gestion de la part du média. (…) Pour ce qui est des solutions, la piste légale est la plus attendue et la plus fastidieuse, mais nous avons besoin d’une coordination entre les pays pour qu’il ne soit pas possible d’héberger un site n’importe où pour échapper à la loi…
(…) Tout ce qui permet de lever cet anonymat peut faire diminuer le nombre de commentaires racistes. Mais les internautes ne devraient pas être obligés d’être inscrits sur Facebook pour commenter un article… Peut-être que la carte d’identité numérique annoncée par le gouvernement pourra apporter une réponse au problème de l’anonymat.
Bon, si sa permet d'envoyer des racistes en prison pendant que des violeurs et dealeurs dorment dehors, la LICRA pourra s'en frotter les mains. Mais comme le mot "raciste" est une étiquette apposable seulement sur le front des hommes blancs, l'homme blanc n'a qu'à bien se tenir ... et voter à gauche.
C'est à croire que tout ces gens sont les fils de la STASI, au nom des droits de l'homme ont lui restreint ses libertés, bravo les gars, de la novlangue de premier choix !
Source : Terrafemina
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