Loi bâillons et tyrannie démocratique : tous unis !
Conscients du péril qui guette notre civilisation, conscients de la justesse de notre discours et des dangers de notre engagement, nous avons choisi d’offrir un soutien sans faille à nos camarades victimes de cette guerre totale contre le Système.
Une guerre sournoise, larvée, qui ne dit pas son nom. Une guerre qui, pour l’instant, harcèle nos militants à coups de peine « pour l’exemple », frappant de mort sociale ceux qui osent affronter nos
ennemis.
Incarcérations injustifiées (alors que les prisons sont pleines de véritables voyous), provoquant une réaction en chaîne logique avec, notamment :
ennemis.
Incarcérations injustifiées (alors que les prisons sont pleines de véritables voyous), provoquant une réaction en chaîne logique avec, notamment :
- la perte de son emploi ; il s’agit là d’une double peine, surtout lorsqu’on sait la difficulté actuelle pour retrouver un emploi stable.
- amendes exorbitantes empêchant tout avenir et développement familial stable.
Pour certains c’est la traque, parfois même l’exil.
Nous ne pouvons, nous ne devons pas être des spectateurs impuissants de ces malheurs touchant nos camarades.
Nous devons être unis dans la lutte : les mots s’envolent mais les actes restent !
La solidarité est notre seule arme !
Nous ne pouvons, nous ne devons pas être des spectateurs impuissants de ces malheurs touchant nos camarades.
Nous devons être unis dans la lutte : les mots s’envolent mais les actes restent !
La solidarité est notre seule arme !
Un comité de soutien aux prisonniers : pourquoi faire ?
Nous n’avons pas la prétention de dire que nous serons les meilleurs ni les plus efficaces, mais simplement d’affirmer que nous voulons faire notre travail de militants avec transparence et ouverture.
Il est évident que nous ne viendrons en aide uniquement qu’aux personnes qui auront été poursuivies pour avoir mené des actes militants, politiques. Nous excluons toute aide, même mineure, aux personnes ayant perpétré des actes relevant du droit commun (profanation, agression commise sous l’emprise de l’alcool, etc.).
De tels actes ne concernent en rien une association militante comme la nôtre. Un soutien, même minime, pourrait discréditer notre action.
Il est évident que nous ne viendrons en aide uniquement qu’aux personnes qui auront été poursuivies pour avoir mené des actes militants, politiques. Nous excluons toute aide, même mineure, aux personnes ayant perpétré des actes relevant du droit commun (profanation, agression commise sous l’emprise de l’alcool, etc.).
De tels actes ne concernent en rien une association militante comme la nôtre. Un soutien, même minime, pourrait discréditer notre action.
Notre priorité
La colonne vertébrale de notre association doit être l’action sociale par le biais de la solidarité active.
Nous entendons par là : soutien moral et financier.
Et l’accompagnement des militants pendant toute la période de mise en examen, d’incarcération et de réinsertion.
Nous entendons par là : soutien moral et financier.
Et l’accompagnement des militants pendant toute la période de mise en examen, d’incarcération et de réinsertion.
Comment ?
Première phase :
Trouver à nos camarades des avocats compétents, mais aussi des camarades pouvant aider la victime pour diverses tâches administratives.
Seconde phase :
Accompagnement durant toute la phase d’incarcération.
Soutien à la famille.
Envoi de mandats, et de livres prêtés par la bibliothèque de l’association. Organisation de manifestations de soutien (soirées, repas, concerts) pour récolter des fonds.
Collaboration étroite avec les avocats pour obtenir des remises de peine, une semi-liberté ou une liberté conditionnelle.
Recherche d’un logement, d’une formation qualifiante ou d’un emploi pouvant favoriser une remise en liberté.
Soutien à la famille.
Envoi de mandats, et de livres prêtés par la bibliothèque de l’association. Organisation de manifestations de soutien (soirées, repas, concerts) pour récolter des fonds.
Collaboration étroite avec les avocats pour obtenir des remises de peine, une semi-liberté ou une liberté conditionnelle.
Recherche d’un logement, d’une formation qualifiante ou d’un emploi pouvant favoriser une remise en liberté.
Troisième phase :
La réinsertion nécessitera la mise en action d’un vaste réseau professionnel constitué par l’association, dans la mesure du possible, en fonction des qualifications mais aussi des disponibilités géographiques.
Trouver un logement rentre également dans ce type d’action synergique.
Trouver un logement rentre également dans ce type d’action synergique.
Ne soyons pas indifférents et égoïstes.
Ne rien faire, c’est conforter la répression du Système contre les nôtres…
Ne rien faire, c’est conforter la répression du Système contre les nôtres…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire