« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »
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mardi 25 mars 2014

Angleterre - Des hôpitaux chauffés avec des corps d’enfants avortés ou morts-nés…


Au Royaume-Uni, au moins 15 500 corps d’enfants avortés ou mort-nés ont été traités comme des déchets cliniques et incinérés ces deux dernières années, dont des milliers pour chauffer 27 hôpitaux et cliniques, résume The Telegraph, suite aux révélations du magazine Dispatches diffusé ce soir par Channel 4. Inutile de préciser que leurs parents n’ont pas été consultés. Dimanche soir, le ministère de la Santé a émis une interdiction immédiate de cette pratique « totalement inacceptable » selon les termes du ministre de la Santé, le Dr Dan Poulter.

lundi 18 février 2013

Un bordel pour pédos puissants au coeur de Londres

On a parlé du scandale Jimmy Savile en Angleterre. Mais, ce n'est que la partie immergée d'un iceberg immense, qu'on commence à entrevoir. Ainsi, on comprend que c'est tout un système qui était voué à transformer les enfants des orphelinats en chair fraîche pour pédophiles. On comprend aussi que les destinataires de ce trafic étaient des gens très bien placés, dans les ministères, au parlement, chez les flics et dans les sévices sociaux. Zoom sur Elm Guest House, ce bordel londonien pour vieux pédos puissants, en lien avec le vieux réseau Spartacus.


Elm Guest House est une sorte d'auberge assez chic, dans le sud de Londres. A la fin des années 70, les homosexuels s'y retrouvaient en toute tranquilité. Du coup, de juenes prostitués y venaient aussi. Puis on a carrément fait venir des enfants.

Depuis quelques semaines, les flics sont à nouveau en train d'enquêter sur les activités pédocriminelles qui avaient lieu là dans les années 80, dans le cadre de l'opération Fairbank et de l'operation Fernbridge, qui vise spécifiquement la Elm Guest House Et peut-être que cette fois, les flics ne vont pas étouffer l'affaire, comme ils l'avaient toujours fait jusqu'ici.

Parmi les clients, on parle d'un évêque, d'un juge, de pop stars (comme Cliff Richards), de chefs de la police, de politiciens du Labour, des conservateurs (comme Leon Brittain, devenu commissaire européen au Commerce et accusé par des victimes d'autres orphelinats de les avoir violés, et il a aussi été cité pour l'assassinat de Jason Swift lors d'une partouze pédophile ou Cyril Smith, également impliqué dans des viols dans d'autres orphelinats et dont on a déjà parlé mais aussi un certain Peter Campbell, qui avait fondé le Conservative Group for Homosexual Equality au sein du parti conservateur) ou encore Colin Jordan le leader du Front National, qui auraient fréquenté les lieux entre 1978 et 1982. Anthony Blunt, agent soviétique et aussi du MI5, aurait été client également. On retrouve beaucoup de conservateurs, parce qu'il y a beaucoup de membres du Monday Club, un think tank à droite du parti conservateur et anti communiste, parmi les habitués.

La liste de ces personnalités a été dressée en 1988, lors d'une rencontre entre Carole Kasir et des fonctionnaires de la protection de l'enfance. 16 victimes ont aussi été identifiées, venues de différents orphelinats. La liste des clients de la guest house a aussi été donnée par Kasir, de même que des preuves de paiement. Mais, rien n'a été fait.

En 1984, le député Geoffrey Dickens avait aussi remis aux flics un dossier de 50 pages concernant les viols commis sur les enfants des ophelinats à Elm Guest House. Et comme par hasard, le dossier en question a disparu.

Personne n'a été inquiété. Jusqu'à ce qu'un député, Watson, demande qu'on fasse la lumière sur toutes ces enquêtes concernant des enfants pris dans les homes et envoyés se faire violer à travers tout le pays.

Alors les flics ont ressorti ce vieux dossier, et son allés faire un tour à Elm Guest House, qui depuis a été transformée en appartements.

Les premières accusations d'abus commis à cet endroit remonteraient aux années 90, lors du décès de la responsable de la guest house de 1979 à 1982 Carole Kasir, par une overdose d'insuline qualifiée de suicide. Cette responsable allemande de la maison avait alerté les flics sur des allégations d'abus sexuels commis là. En 1988, Kasir dit à la protection de l'enfance que des garçons du Grafton Close home à Hanworth, juste à côté, étaient violés à Elm Guest House. Elle a aussi montré des photos des violeurs.

Une victime dit qu'en 1978 quand il avait 13 ans et qu'il était au Grafton Close home, on l'emmenait à Elm Guest House. Il était emmené dans une pièce où l'attendaient au minimum deux pédophiles. Parfois, on l'obligeait à s'habiller en fille. Il y avait des soirées "Rois et reines", qui finissaient aussi en partouzes. Le mari de Casir, qui était aussi dans le business, n'a jamais rien dit, et il est toujours vivant.


Où l'on apprend qu'un réseau international opérait à Elm Guest House

A cette époque, lors d'une descente à l'occasion d'une partouze à Elm Guest House, la police avait entendu 12 garçons placés dans des foyers, qui ont confirmé à la police avoir été violés à Elm Guest House. Mais, pas de bol: deux officiers de police étaient présents à ladite partouze. Ainsi qu'un jeune garçon qui jouait dans la série "Docteur Who".

En 1982, suite à cette descente, Kasir avait été condamnée pour avoir tenu un bordel, et il semble que deux personnes dont un certain Peter G, membre du réseau SpartaKus (avec un "k" à l'époque, mais ce magazine existe toujours), l'ont convaincue à cette époque de transformer Elm Guest house en bordel pour homos. De là, des pubs ont été diffusées dans des magazines gays. Spartakus était un magazine gay, sorte de guide touristique pour pédos, diffusé dans 150 pays au cours des années 70.

Aujourd'hui, on apprend que des députés du parti conservateur étaient fortement incités à aller à Elm Guest House: en 1982, le Conservative Group for Homosexual Equality envoyait à ses membres une newsletter vantant les mérites du lieu.

On apprend aussi que le type qui a transformé la guest house en bordel pour pédo est désormais connu des flics.

Enfin, on apprend donc que la Elm Gust House était liée au réseau Spartacus, qui avait beaucoup fait parler de lui. Il s'agissait d'un guide pour pédophiles qui donne les bonnes adresses partout dans le monde, ainsi que les pays où les lois étaient laxistes, et proposait aussi des ristournes. C'est un curé, le père John Stamford, qui le publiait depuis 1970. 250.000 exemplaires pouvaient être écoulés en une seule année.

Un autre curé, le père Peter Glencross, qui était membre du réseau pédophile Toro Bravo, dirigeait la revue. On peut noter que le père Glencross a hébergé un futur ministre des Affaires Etrangères, Hubert Védrine, à Saint Léger des Vignes, quand François Mitterrand l'avait parachuté dans la Nièvre. Stamford vivait à l'époque avec ses cinq fils adoptifs venus de Colombie et du Pérou.

Le père d'Hubert Védrine, avait rencontré Mitterrand quand ils bossaient pour Pétain en 1943. Jean Védrine était aussi ami avec Glencross, qui plus tard édita chez lui la revue Gaie France. Chez lui aussi, on a trouvé en 1991 le plus gros studio de pédopornographie d'Europe. Un studio qui existait depuis des années, et probablement déjà à l'époque où Védrine vivait chez Glencross, dans son presbytère. Et il est impossible qu'il n'ait rien su des activités de Glencross. Pourtant, il n'a jamais été entendu à ce sujet, allez savoir pourquoi.

Au sujet de cette élection de 1977, Védrine écrit "Mais comment, lui demandai-je [à Mitterrand], être candidat dans une commune où je ne connaissais personne? Il allait s’en occuper, me dit-il, en me mettant en contact avec des amis, les Maringe, qui me mettraient à leur tour en relation avec le curé de Saint-Léger-des-Vignes, le père Glencross, anglais original échoué dans le Nivernais depuis la guerre, adoré de ses paroissiens et très proche des animateurs de la jeune équipe socialiste, Robert Billoué et Guy Leblanc". C'est là qu'on apprend que Glencross avait ses entrées parmi les membres du "parti socialiste".


Glencross était proche du pasteur Doucé, mystérieusement disparu après avoir été embarqué par des types de la DGSE, lui-même amant de Philippe Carpentier, lié à l'affaire du CRIES (des films pédopornos tournés dans les locaux de l'UNICEF à Bruxelles). Glencross a été arrêté en 1990, juste avant le meurtre de Doucé.

Le réseau Spartacus, donc, proposait "10% de ristourne" pour ses membres tentés par une partouze à Elm Guest house. C'est Peter G, directeur commercial de Spartacus, qui était chargé d'amener les clients du réseau Spartacus vers Elm Guest House. Dans les années 80, Spartacus comptait environ 25.000 membres anglais.

Quant à Stamford, il a été arrêté fin 1993 et est opportunément mort à 56 ans dans une prison belge en décembre 1995, d'une attaque cardiaque, et cela avant son procès bien sûr (il ne risquait qu'un an de prison, mais aurait pu avoir la mauvaise idée de balancer des noms).

L'affaire du réseau Spartacus a donc été close sans débat, et on n'en a plus reparlé. Jusqu'à l'affaire Elm Guest House.

Espérons juste que la liste des clients saisie récemment par la police ne finira pas à la poubelle, ou plutôt dans les fichiers des services secrets, où ils seraient très utiles pour faire chanter tout ce petit monde (on soupçonne fortement le MI5 d'avoir couvert les pervers d'Elm Guest House pour mieux faire pression sur eux). Et qu'on arrête aussi de ne balancer que les noms des morts. Sur la liste, il en reste encore quelques uns de vivants.

Source : Dondevamos

mardi 11 décembre 2012

Angleterre - La gauche exalte « la révolution génétique irréversible »

« Progressiste de gauche, antiraciste, féministe, musulmane, à moitié Pakistanaise », c’est ainsi que se définit Yasmin Alibhai-Brown (photo ci dessous), née Yasmin Damji, grande conscience du plus politiquement correct, et moins vendu, des quotidiens britanniques, The Independent.

Yasmin Alibhai-Brown est née en Ouganda d’une mère ougandaise et d’un père Indien musulman. Elle a émigré définitivement en Grande-Bretagne en 1972, lorsque le président Idi Amin Dada a donné aux Asiatiques d’Ouganda 90 jours pour quitter le pays, « afin que les Ougandais ordinaires soient maîtres de leur propre destin ». En Grande-Bretagne, elle a épousé Colin Brown, « directeur du service consommateurs de l’Autorité des marchés financiers ». Monsieur Brown, c’est sa femme qui l’affirme, « étant un homme de gauche, fait beaucoup d’investissements éthiques ». Son antiracisme est, bien sûr, patenté, « ses idées sur la race venant d’une vie entière de militantisme et d’enquêtes minutieuses. Dans les années 1980, il a publié des recherches fondatrices sur les discriminations, qui ont influencé les politiques gouvernementales ».

Yasmin Alibhai-Brown a l’habitude de se lamenter sur « le racisme blanc », qui, selon elle, est « un fléau toujours présent » en Grande-Bretagne. Pour une fois, cependant, sa dernière chronique de l’Independent est optimiste et même triomphale. Un vrai chant de victoire que cette musulmane ne craint pas d’ouvrir en parodiant le vieux cantique de l’Avent (God rest ye merry, gentlemen) : « J’apporte des nouvelles de réconfort et de joie (tidings of comfort and joy), mais peut-être pas pour le British National Party et Compagnie ». Ces nouvelles, ce n’est plus la venue du Messie mais « l’ADN changé de la nation – une révolution génétique tranquille et irréversible ».

Dans le recensement de 2011, en effet, environ un million de Britanniques sont identifiés comme « métis ». « Le vrai chiffre pourrait être deux fois plus élevé car beaucoup préfèrent se définir comme Noirs (puisque c’est ainsi qu’ils sont vus et traités par la société) et un certain nombre se font passer pour Blancs (parce qu’ils le peuvent et pour avoir la vie plus facile) ». « La miscégénation, le mélange des sangs, fait partie de l’identité nationale ».

Yasmin Alibhai-Brown attribue en partie ce merveilleux progrès aux médias, qui ont mis en avant des athlètes, des vedettes et des présentateurs métis. Mais elle exalte surtout le rôle des « femmes britanniques blanches » dans « le sabotage des frontières raciales et nationales ». « Les femmes britanniques blanches ont été à l’avant-garde de cette résistance, tenant tête aux gardiens de la pureté nationale, subvertissant leur idéologie par le désir sexuel et l’amour. Il faut écrire une autre histoire de la Grande-Bretagne, sur les réponses féminines, souvent pleines d’humanité et de chaleur [ !], à ceux qui arrivaient dans ce pays, et la manière dont les femmes furent punies pour ces transgressions ».

Yasmin Alibhai-Brown cite avec jubilation les propos « dégoûtés » du planteur jamaïcain, Edward Long, en 1772 (dans un obscur pamphlet en faveur de l’esclavage, Candid reflections upon the judgement lately awarded by the Court of King’s Bench, que les antiracistes d’aujourd’hui ne se lassent pas de recopier) : « Les classes inférieures de femmes en Angleterre ont un remarquable amour pour les Noirs, pour des raisons trop brutales pour qu’on puisse les mentionner… Les Noirs ont généralement une progéniture abondante de ces femmes. Ainsi, en l’espace de quelques générations supplémentaires, le sang anglais sera irréversiblement contaminé par ce mélange » (irréversiblement est une addition de Yasmin Alibhai-Brown, qui aime décidément beaucoup ce mot, note de Novopress).

« Même dans les années soixante, ces couples étaient confrontés à une haine monstrueuse. Mais regardez-nous maintenant » – car Yasmin Damji se donne volontiers en modèle, avec son Brown de mari. « Ma famille est complètement métisse, et n’est nullement inhabituelle ». « En 1990, la moitié de la population blanche désapprouvait les relations interraciales. À présent, selon un nouveau sondage du think tank British Futures, elles ne gênent plus qu’environ 15%. Dans mes propres recherches approfondies, j’ai trouvé que l’essentiel de l’opposition aujourd’hui venait des Britanniques noirs, asiatiques, musulmans et juifs, pris dans de hideuses politiques identitaires ».

Conclusion (même s’il reste bien sûr beaucoup à faire dans la lutte contre le racisme) : « Les Britanniques blancs peuvent à juste titre être fiers de leur ouverture et de leur capacité d’accueil ». Ce ne sont pas les Américains – ou les Ougandais, mais Yasmin Damji oublie de les mentionner – qui en feraient autant.

Source : Novopress

samedi 24 novembre 2012

Angleterre - Todmorden, un exemple à suivre de près

Autosuffisance, potagers communs, partage alimentaire, autarcie régionale, formation à la botanique et à la biologie.

Angleterre - Ses beuveries et ses viols (C'est la même chose en France qu'on se le dise!)

Le ciel qui n’arrête pas de chialer, les façades lugubres de la banlieue dans les flaques d’eau. Et puis un groupe de femmes voilées, armées de poussettes garnies de braillards. Bienvenue à Rochdale, Angleterre occupée, 2012.

Tu ne les trouves pas beaux ? Fermes la, car ils sont l'avenir de l'Europe!
100 000 habitants dont un quart de musulmans.

Rochdale, ses kebabs, ses ados défoncés à coup de « binge drinking », sa traite des blanches à ciel ouvert.

Dans un royaume au bord de la fracture ethnique, l’affaire crépite depuis deux ans sur les écrans plasma : au moins 47 jeunes filles, toutes blanches, ont servi de marchandise sexuelle à un gang de violeurs, tous musulmans. Exposées par les médias jusqu’à plus soif, les mines patibulaires des tristes sires rappellent à l’Anglais moyen la dure réalité : certaines de leurs villes sont pratiquement sous occupation étrangère, et visiblement, les nouveaux venus se gênent de moins en moins avec la femelle autochtone…

Une des gamines, 15 ans à l’époque des faits, a raconté sa dérive. Une plongée cauchemardesque au cœur de l’Angleterre multiculturelle : enfant solitaire, elle picolait pour oublier son univers glauque. Un jour, elle rencontra des hommes dans un des nombreux kebabs qui remplacent désormais les pubs. La proie fut vite repérée, ce n’était qu’une « white trash » ainsi que les qualifient désormais nos bons pères de familles coraniques. Du « déchet blanc » en français dans le texte.

Au début, Ahmed, Adil et les autres étaient plutôt sympas, payaient les tournées. Puis ils demandèrent le remboursement en nature. Comme ils le faisaient depuis belle lurette avec des tas d’autres petites souchiennes, abruties d’alcool et d’inculture… L’une d’elle, 13 ans, a du avorter, une autre se rappelle cette nuit ignoble et gluante quand 20 salopards désacralisèrent son corps innocent.

Les organisations nationalistes (British National Party, English Defense League) ont protesté au cours de manifs très tendues, avec des slogans crus comme des steak tartares : « Nos filles ne sont pas de la viande halal ! »

En plus de l’immigration invasion, le politiquement correct aura fait beaucoup de dégâts à Rochdale. Les policiers et les services sociaux, bien que largement au courant de ce qui se passait (127 cas d’abus sexuels signalés entre 2004 et 2010) étaient terrorisés à l’idée de provoquer un nouveau séisme racial. Ils décidèrent de laisser faire… jusqu’à l’arrivée d’un flic pas assez dégénéré pour accepter l’horreur néo-coloniale.

Les médias, de leur côté, osent encore qualifier la bande de « gang asiatique » pour ne pas avoir à dire « musulmans » : ce qui provoque la colère des Sikhs et des Hindous ! Joyeuseté du Vivre Ensemble…

Dans les années 1960, alarmant la population sur les vagues d’immigrations à venir, le politicien britannique Enoch Powell avait prévu « des rivières de sang » dans un avenir proche. Pour l’instant, les jeunes anglaises se contentent de torrents de foutre… 

samedi 14 avril 2012

Grande Bretagne - Les détenus païens demandent à pouvoir pratiquer librement leur culte

Les détenus païens de Grande-Bretagne demandent à bénéficier du droit de prier nus et de porter des robes à capuchons dans leurs cellules. Les directives pénitentiaires actuellement en vigueur leur permettent de porter seulement des robes sans capuchons afin que leurs visages restent bien visibles. Et la pratique consistant à se mettre nu pour prier est tout simplement interdite. Une règlementation beaucoup plus restrictive que pour certaines communautés, notamment celles d’origine indo-pakistanaise.

Selon le Daily Mail, qui révèle l’affaire, un détenu dont le nom n’a pas été divulgué, incarcéré dans un quartier de haute sécurité à la maison d’arrêt de Frankland dans le Nord-est de l’Angleterre, s’est plaint d’être victime de discrimination parce qu’il s’est vu interdire de prier en portant une robe de « style druidique » dans sa cellule.

Dans une lettre publiée dans le magazine des détenus Inside Time il a déclaré que certains de ses codétenus – d’origine indo-pakistanaise – avaient été autorisés à couvrir leurs têtes avec des foulards pendant la prière et qu’il n’était pas équitable que les détenus païens se voient interdire de porter une robe à capuchon.

« Il s’agit là d’un cas de discrimination flagrant qui doit être considéré comme sérieux. Il ne doit y avoir qu’une seule règle pour tous ou pas de règle du tout. » écrit le prisonnier. Après avoir demandé conseil auprès de la Fédération Païenne, il a donc saisi la direction de l’établissement pénitentiaire pour que le règlement soit modifié.

Un autre détenu, qui purge une peine à la prison de Wandsworth, dans le Grand Londres, s’est plaint de ne pas avoir le droit de prier nu – « skyclad » selon le terme anglais – comme le font certains groupes païens actifs en Grande Bretagne.

Le Ministère de la Justice britannique permet aux détenus païens d’avoir un certain nombre d’objets religieux dans leurs cellules, y compris de l’encens, un collier pentagramme, une baguette souple nommée « wand », des pierres runiques faites de « bois, pierre ou argile », un calice, un autel pour prier et même des cartes de tarot (?). Mais les directives sont formelles : « La plupart des païens portent des vêtements ordinaires pour le culte – en prison, le culte skyclad [nu] worship est interdit. L’usage d’une robe sans capuchon est autorisée, mais seulement pour l’exercice d’un culte privé ou collectif » . Après le cas des chrétiens, dont le droit de porter des signes rappelant leur foi sur les lieux de travail est contesté par le cabinet de M. Cameron, celui des détenus païens sera -t-il aussi porté devant la Cour européenne des Droits de l’Homme ? Affaire à suivre.

Source : Novopress

dimanche 1 avril 2012

L'enculage anti raciste et anti blanc dans toute sa splendeur

The Guardian évoque l’histoire d’un jeune internaute britannique (21 ans) qui a publié la semaine dernière des messages « racistes » sur le réseau social Twitter, alors qu’il était dans un bar avec des amis pendant un match de football. Il avait invité un joueur africain à « retourner dans (son) champ de coton ».

Dès le lendemain dimanche, la police est intervenue pour arrêter l’internaute et le déférer devant un tribunal pour « insultes racistes publiques pouvant inciter à la violence ».
Quelques jours après, le jeune homme a été condamné à 56 jours de prison.

Tandis que le délire totalitaire des démocraties occidentales atteint des sommets, les nombreux gangs d’immigrés pakistanais (concrètement racistes) continuent à s’adonner tranquillement à la traite des jeunes Anglaises.

Source : Contre-info

Donc maintenant, si tu vois des racistes sur cette vidéo,
c'est que tu es un raciste!



N'oublies jamais que tu es condamné à regarder ta race se faire sacrifier sans broncher sur l’hôtel du pognon et de la mondialisation. Sinon gare à la justice maçonnique et aux associassions de sionistes universalistes (mouhaha elle est belle celle là). Alors ferme ta gueule, travail et payes tes impôts, tu auras peut être la chance de te faire violer ou voler (et pourquoi pas tuer après tout!) par la diversité, c'est une autre forme d'enrichissement! Ingrat!

Un gang de pédophiles pakistanais musulmans arrêté à Oxford


Des gangs de pédophiles sont régulièrement découverts en Grande-Bretagne. À chaque fois, les gros médias, et au premier chef la BBC, en parlent le moins possible. Étonnant ? Pas vraiment.

À la fin de 2010, après la mise au jour d’une affaire particulièrement atroce, une journaliste du Daily Mail avait osé rompre le silence : «C’est un sujet qui, dans la Grande-Bretagne politiquement correcte d’aujourd’hui est pratiquement tabou – un sujet rarement évoqué par la police, les tribunaux et même les agences de soutien psychologique aux victimes. La réalité est que les perpétrateurs sont presque tous des Asiatiques (Pakistanais) et que leurs victimes sont blanches ». Un peu plus tard, le Times et le Daily Telegraph avaient dénombré 17 procès depuis 1997, où des groupes d’hommes avaient été jugés pour exploitation sexuelle de filles âgées de 11 à 16 ans : 53 condamnés sur 56 étaient d’origine pakistanaise, 50 d’entre eux musulmans. Les agences et associations censées aider les victimes d’abus sexuels avaient alors « été accusées de dissimuler le rôle des musulmans pakistanais de Grande-Bretagne dans l’exploitation sexuelle de petites filles blanches». Des policiers avaient confié, sous le voile de l’anonymat, que les condamnations ne représentaient qu’une petite partie des crimes. « Ces filles, avait avoué un policier haut gradé, sont passées de main en main et traitées comme de la viande. Pour arrêter ce genre de crimes, il faut en parler, mais tout le monde a été dans la terreur d’aborder le facteur ethnique ».

Dix-huit mois plus tard, rien n’a changé. La police a annoncé il y a quelques jours qu’un groupe d’hommes avait été arrêté à Oxford dans une affaire d’exploitation sexuelle de 24 filles âgées de 11 à 16 ans. « Nous pensons avoir découvert un groupe criminel qui vendait des jeunes filles pour des rapports sexuels ». Les chefs d’accusation incluent la prostitution de mineures, l’administration de drogues pour perpétrer des viols, le proxénétisme et le dressage sexuel. Selon la police, « nous considérons les petites filles comme très, très vulnérables et c’est la raison pour laquelle elles ont été prises pour cibles ». Il s’agirait en particulier d’enfants ayant fait une fugue. La police « a refusé de donner des indications sur la nationalité des suspects ».

Sheila Taylor, directrice du National Working Group for Sexually Exploited Children and Young People, s’est précipitée dans la presse pour assurer que les victimes seraient prises en charge. Elle a tenu à ajouter (tiens donc !) : « L’expérience des membres de notre réseau est que tant les victimes que les criminels sont issus d’une gamme variée de milieux culturels et sociaux ».

La presse locale a ensuite donné les noms des six hommes qui ont comparu devant le tribunal d’Oxford et ont été placés en détention provisoire :

Akhtar Dogar est inculpé pour trois viols, un viol d’enfants, trois affaires de prostitution d’enfants, une menace de mort, et pour proxénétisme.
Son frère Anjun Dogar est inculpé pour viol d’enfant, prostitution d’enfant, et proxénétisme.
Kamar Jamil est inculpé pour quatre viols, deux affaires de prostitution d’enfants, une menace de mort, possession de cocaïne avec intention d’en fournir à quelqu’un.
Zeshan Ahmed est inculpé pour dix rapports sexuels avec enfant.
Bassan Karrar est inculpé pour avoir violé une petite fille.
Son frère Mohammed Karrar est inculpé de deux viols d’enfants et de fourniture de cocaïne à un enfant.

Sept autres hommes dont les noms n’ont pas été révélés ont été remis en liberté sous caution.

Le nombre des victimes identifiées s’élève désormais à 38, âgées de 11 à 16 ans.

Source : Novopress

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