Albert Caraco - Ce monde d’esclaves n'est pas le notre

Mais à quoi bon prêcher ces milliards de somnambules, qui marchent au chaos d'un pas égal, sous la houlette de leurs séducteurs spirituels et sous le bâton de leurs maîtres ? Ils sont coupables, parce qu'ils sont innombrables, les masses de perdition doivent mourir, pour qu'une restauration de l'homme soit possible. Mon prochain n'est pas un insecte aveugle et sourd, mon prochain n'est pas un automate spermatique [...]. Que nous importe le néant de ces esclaves ? Nul ne les sauve ni d'eux-mêmes ni de l'évidence, tout se dispose à les précipiter dans les ténèbres, ils furent engendrés au hasard des accouplements, puis naquirent à l'égal des briques sortant de leur moule et les voici formant des rangées parallèles et dont les tas s'élèvent jusqu'aux nues. Sont-ce des hommes ? Non. La masse de perdition ne se compose jamais d'hommes.

Albert Caraco (Juif)
Bréviaire du Chaos

Albert Caraco - Ma Confession (Exemple de l'état d'esprit judaïque)

"Je souhaiterais me venger de ce pays, ma consolation est qu’il ne n’arrêtera de décliner, ma certitude est que sa langue a fait son temps et qu’il devra ménager quelques Nègres de service pour leur communiquer les restes de sa gloire. Paris est plein de Nègres et d’Arabes, leur vue me charme infiniment et si j’aimais la France, je la plaindrais d’avoir à les subir. Et le moyen qu’elle s’en débarrasse ? Elle est lié à cette engeance par une foule d’intérêts, elle en dépend et plus qu’ils ne dépendent d’elle, ils usent de leurs droits, ces droits n’arrêtent de grandir. Les Français riches fermeront les yeux, les Français pauvres, eux, se convertiront au racisme, je me promets des moments agréables, les agents de police noirs éveillent déjà la fureur de pas mal de personnes : c’est que participent des privilèges de ce corps, ils font sentir à la plupart des Blancs qu’ils sont un peu moins que des Nègres".

Albert Caraco, Ma Confession, p.13.

Source : Le Clan des Vénitiens