« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

samedi 19 septembre 2015

Jeudi 24 septembre, tous à Paris !


Pour la France et l’Europe les choses semblent désormais sur le point d’être jouées. L’invasion migratoire en cours, encouragée par nos élites politiques et économiques, si elle se poursuit, conduira fatalement à la dissolution des Nations au sein d’un répugnant magma interracial que le « 1% » pourra aisément exploiter et dominer tant par l’abrutissement de masse (consommation, société du spectacle, « tittytainment ») que par la « stratégie de la tension » ; déjà on voit avec quelle malice diabolique nos élites (et en particulier « l’avant garde » sémitique du régime) jouent des tensions entre les différentes « communautés » appelées à peupler notre territoire (les vrais Français n’étant plus qu’une communauté parmi d’autre, appelée à devenir minoritaire), cajolant les envahisseurs à grands coups de campagnes de culpabilisation et de promotion de l’immigration tous azimut qui viendrait « enrichir » notre peuple à tous les points de vue (tant économique que génétique, cela va de soi) tout en cherchant en même temps à se concilier l’opinion de plus en plus hostile des dizaines de millions de « Charlies » autochtones en montant en épingle le « péril terroriste » justifiant des mesures liberticides dont ils seront pourtant les premières victimes.

L’heure est donc grave pour nous nationalistes et catholiques. La vieille lutte entre pays légal et pays réel n’a plus lieu d’être ; le pays légal a triomphé, il est partout. Et nous sommes littéralement pris en sandwich entre les hordes de « migrants » et la foule des Charlies autochtones, Charlie PS, Charlie Républicain, Charlie De Gaulle qui sont au fond tous des « Charlies chambre à gaz », bons petits soldats-citoyens du régime. La république a donc fini par dissoudre l’essentiel de la Nation, dans la matière (immigration, métissage) comme dans la forme, les « hexagonaux » autochtones n’ayant malheureusement plus de Français que l’origine, l’esprit national étant chez eux en sommeil voire absent. Face à cette situation, il n’est pas temps, même sous prétexte d’efficacité face à la déferlante allogène, de faire des compromis avec la doctrine. Car nous ne le répéterons jamais assez : l’apathie des Charlies est lié à la mise en sommeil volontaire de leur sentiment national, encouragée depuis leur naissance par les élites qui nous gouvernent. Et aucun vrai mouvement anti-migratoire de masse ne sera possible tant que notre peuple n’aura pas réveillé en lui ce sentiment de la race et de la terre, fermement appuyé sur une spiritualité catholique qui nous vient de nos ancêtres et qui vient replacer chaque chose dans l’ordre qui doit être le sien. Car « la vraie révolution [est celle] qui remet au point non pas la machine de l’État mais la vie secrète de chaque âme » (Léon Degrelle).

A cette fin, appuyons donc chacune de nos actions sur une foi ardente et sur une doctrine droite. Ne nous lassons pas de revenir à ceux qui, avec grand talent, ont défini ce qu’était le nationalisme, ce que signifiant « sentir les choses » en véritable national et non en métèque ou en autochtone négrifié. Nous terminerons ainsi cet article par un petit florilège de citations de deux de ces géants, Barrès et Maurras, qui sont plus que jamais d’actualité et qui nous rappellent ce justement ce qu’est la Nationalité et ce qu’elle n’est pas. A méditer.

"Le problème n’est point pour l’individu et pour la nation de se créer tels qu’ils voudraient être (oh ! l’impossible besogne !) mais de se conserver tels que les siècles les prédestinèrent.

Vous préféreriez que les faits de l’hérédité n’existassent pas, que le sang des hommes et le sol du pays n’agissent point, que les espèces s’accordassent et que les frontières disparussent. Que valent vos préférences contre les nécessités ?

L’identité nationale, c’est la terre et les morts, une commune manière de sentir et de réagir. Les caractères propres ethniques et nationaux nés de variations séculaires différencient le Français de l’étranger ; c’est pourquoi tant de naturalisés qui n’ont pas avec nous cette communauté de race, de sang et d’histoire ne sauraient sentir comme nous sentons les questions nationales.

Le problème n’est point pour l’individu et pour la nation de se créer tels qu’ils voudraient être (oh ! l’impossible besogne !) mais de se conserver tels que les siècles les prédestinèrent."

Maurice Barrès

"Quand un régime tombe en pourriture, il devient pourrisseur : sa décomposition perd tout ce qui l’approche.

Les idées des partis, les idées diviseuses ont, en République, des agents passionnés ; mais l’idée unitaire, l’idée de la patrie n’y possède ni serviteur dévoué ni gardien armé.

On ne choisit pas plus sa patrie – la terre de ses pères – que l’on ne choisit son père et sa mère.

Un patrie est un syndicat de familles composé par l’histoire et la géographie ; son principe exclut le principe de liberté des individus, de leur égalité, mais elle implique, en revanche, une fraternité réelle, profonde, organique, reconnue par les lois, vérifiée par les mœurs, et dont le pourtour des frontières fait le signe matériel.

Une patrie, ce sont des champs, des murs, des tours et des maisons ; ce sont des autels et des tombeaux ; ce sont des hommes vivants, père, mère et frères, des enfants qui jouent aux jardins, des paysans qui font du blé, des jardiniers qui font des roses, des marchands, des artisans, des ouvriers, des soldats. Il n’y a rien au monde de plus concret."

Charles Maurras

Source du texte : Reconquête Française

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire