"Ce ne sont pas les horreurs de la guerre qui me font peur, mais les horreurs invisibles de la paix"
Adolf Hitler
Aujourd'hui, seulement, nous comprenons la puissance et la profondeur de cette phrase. Cette paix, tant vantée par les dirigeants de l'occident. Cette paix qui nous oblige à vivre dans l’acceptation et la laideur du matérialisme, la laideur de voir notre peuple avili et sali, nos filles réduites en putains bon marché et nos fils en fille. Accepter de voir notre mode de consommation réduire les peuples du "tiers-monde" en esclave où de jeunes enfants fabriquent vos Iphone et vos jeans. La laideur de voir notre paysannerie asphyxiée et leurs terres servir de fondation pour de nouveaux super marchés.
Désormais en pourrissement avancé, La bourgeoisie internationale n’a aucun réel programme. Elle navigue à vue dans un océan de mensonge, de privation et de misère et tire sur tout ce qui bouge à mesure que les immenses vagues de la contestation des peuples grossissent. Il faut bien comprendre que cette classe suicidaire est face à un choix tronqué : soit sombrer, soit détruire l’humanité. Et tous les signes de sa politique attestent maintenant que la traque à la vie est en marche. Après un siècle où la domination a frôlé la mise à mort brutale de l’espèce humaine, elle opte, non sans avoir complètement écarté ce premier risque, pour une lente agonie de tous. Tout ce qui a constitué notre Tradition depuis ces 6.000 dernières années est en passe d’être éradiqué.
Le règne absolu de la marchandise dont le royaume s’étendra bientôt au plus profond de l’intimité de chacun et dans les paysages détraqués et stériles de l’harmonie naturelle à jamais abîmée. Et cette colonisation violente prend les formes les plus vulgaires de toutes les horreurs connue dans l’Histoire : la décadence impérialiste génère les réminiscences accélérées des plus anciennes formes de barbarie, tandis que poursuivant la route qui la mena à Hiroshima et à Nagasaki, la science aliénée aux intérêts marchands prépare l’apocalypse dans des laboratoires où les ordres sont dictés par de vulgaires financiers.
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