Ce symbole est le cordon ombilical nous reliant à la Tradition primordiale |
A travers l’étude des textes sacrés, les Védas, (ce qui signifie « savoir » en sanscrit – le sanscrit est la langue sacré en Inde), le brahmane B.G. Tilak a mis en évidence la provenance hyperboréenne des Indo-Européens grâce a des données astronomiques irréfutables. Mais ceux qu’on désignait sous le terme d’Indo-Européens en Europe, se nommaient là-bas, les Aryas, ou Aryens, c’est-a-dire les nobles ou deux-fois nés en sanscrit, par allusion à l’état d’initié.
Ils avaient quitté le pôle nord a une époque fort ancienne, il y a des millénaires de cela, fuyant l’arrivé de la grande glaciation qui anéantissait toute vie pour se réfugier plus au sud, sous des climats favorables. Ils s’étaient divisés en de grands rameaux, allant vers l’ouest, l’Europe actuelle, et plus a l’est, vers l’Inde et l’Iran, emportant avec eux la vénérable et immémoriale tradition des Védas, en ce temps là encore orale.
Et durant des millénaires, ils la conservèrent sous sa forme la plus pure en Inde, grâce au système de castes qui garantissait leur identité ethnique et culturelle comme celle de chacune des populations présentent sur le sol indien, offrant ainsi la réponse la plus intelligente et toujours actuelle au grave problème de la mixité raciale.
Ces Aryens, ces « nobles » étaient donc des Nordiques vivant à l’origine près du pôle, connaissant des mois sans soleil, comme en témoignent encore les données de certains calendriers (le calendrier romain par exemple). Mais la branche partie en Europe avait manifestement perdue certains enseignements, et jusqu’au souvenir de sa dénomination aryenne. Pour preuve, les nationaux-socialistes, qui revendiquaient pourtant cette origine au plus haut point, avaient quasiment ignorés l’usage du terme d’Aryens dans leurs exposés raciologiques, lui préféraient sans conteste les noms d’Indo-Germains (synonyme d’Indo-Européens) ou de Nordiques, pour eux plus significatifs, et ne le réservant qu’a l’étude des peuples Indo-iraniens, comme les travaux de Hans. Günther le démontrent également.
Pourquoi ce nom d’Aryens, si peu usité sous l’ère nationale-socialiste, fut-il frappé d’opprobre après guerre comme un terme « nazi » ? Parce qu’il renvoie précisément à la véracité de la manière d’être européen, de l’âme nordique, des valeurs élitistes Indo-Européennes et affirme l’essence positive de notre identité, à nous Aryens, qui ne sommes donc point la négation d’une humanité élue, supposés, ou prétendue. Le nom d’Aryen est bien le seul qui soit qualifié pour définir au mieux ce que nous sommes. Le nier, le salir, l’oublier, c’est nier, salir, oublié notre véritable nature.
Ewige Thibaut
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