« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

lundi 8 avril 2013

Quand le gouvernement vole la parole du peuple, les JN la reprennent de force!



Les Jeunesses Nationalistes font reculer le gouvernement :

Ce vendredi 5 avril, Erwann Binet, député PS et rapporteur du projet de la loi Taubira, n’a pas pu tenir sa conférence, prévue dans le cadre de la faculté de St Etienne. Des militants des Jeunesses Nationalistes, menés par leur Président Alexandre Gabriac, ont envahi l’estrade sur laquelle se tenait le prédicateur du jour.

Oui nous l’avons empêché de s’exprimer !
Oui nous avons refusé le débat !
Œil pour œil dent pour dent !


Il n’est de raison qui vaille, pour qu’un gouvernement illégitime, ait plus droit à la parole que le peuple légitime de France ! Illégitime à la seconde même où il a utilisé la force et les gaz contre les familles, hommes, jeunes ou vieux, femmes et enfants, venus faire entendre leur opposition.
C’est au cri de la « France aux Français », « Mariage, adoption, pas question », et « un père, une mère, une famille » que nous avons, sans violence, contraint le député à rentrer dans ses salons feutrés.

Celui-ci a dès lors annoncé par voie de presse qu’il renonçait à toute sa tournée de promotion de la légalisation de l’accouplement sodomite et saphique. Ceci constitue le premier recul officiel du gouvernement.

Les Jeunesses Nationalistes se félicitent de cette victoire obtenue sur un système ayant décidé de détruire tout ordre naturel en lui substituant une perversité sans limite. Les JN continueront jusqu’à la révolution nationale salvatrice les Actions Coup de Poing (ACP), les manifestations, ou toute forme de lutte contre la mise à mort programmée de la famille.


Il faut qu’ils sachent que nous n’avons pas peur d’eux ! Il faut qu’ils sachent que malgré la répression, les violences, les amendes, les procès, les humiliations, les interdictions… nous serons toujours là, dernier rempart d’une France qui ne veut pas mourir.

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