Le samedi 26 janvier 2013, avait lieu à Lyon une manifestation en faveur du mariage homosexuel. Comme à Avignon et Toulouse (voir [ici] et [là]) la semaine dernière, les Jeunesses Nationalistes étaient présentes pour contrer ce projet de loi pervers. Après une petite diversion pour échapper aux forces de l’ordre qui visiblement nous attendaient et avaient des consignes très fermes, une équipe des JN de Lyon est montée sur un échafaudage installé sur la devanture du magasin ERAM place Bellecour ; occasion pour nous d’envoyer un petit clin d’œil à cette marque subversive en souvenir de notre première ACP (action coup de poing) lyonnaise en octobre 2011, dénonçant la campagne publicitaire faisant l’apologie des familles antinaturelles et homoparentales (vidéo [ici]).
Comme à Toulouse et Avignon une semaine auparavant, un drapeau arc en ciel a été détruit, des fumigènes bleu, blanc et rouge ont été allumés et les militants ont brandi des affiches Jeunesses Nationalistes en scandant notre slogan « Mariage, adoption ? Pas question ! »
Comme à Toulouse, seule la police a pu déloger nos camarades alors que la vermine rouge tentait de les atteindre.
Ce soir trois membres des Jeunesses Nationalistes dormiront en cellule pour s’être opposés à la perversion et ces projets de lois antinaturels. Une fois de plus la répression frappe certains d’entre nous pour le simple motif d’exprimer notre juste colère dans nos rues. Déjà une campagne de presse nous accuse de dérive homophobe. Le système nous menace avec ses gros yeux car nous les dérangeons.
Qu’importent les coups que nous prenons, rien ne nous arrêtera. Non seulement nous ne laisserons pas tomber nos trois amis et nous les féliciterons pour cette arrestation qui leur vaut une médaille, mais nous serons là à chaque manifestation, à chaque événement où des dégénérés osent souiller nos rues, notre terre en réclamant l’inacceptable.
Systématiquement nous détruirons leur drapeau arc en ciel devant eux, symbole de leur idéologie nauséabonde, destructrice de la famille et de l’avenir français jusqu’à ce que la France ait enfin les lois et les dirigeants qu’elle mérite.
La rue, la France nous appartient !
Qui vive ? France !
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