Dans le roman de Robert Brasillach intitulé Les Sept Couleurs (1939), on peut lire un dialogue édifiant, au début de la troisième partie, sur ce que fut la vie culturelle à Berlin pendant l'entre-deux guerres. Elie Wiesel avait déjà écrit que la culture allemande était alors largement dominée par les juifs (cf. Le Fanatisme juif, 2007). Mais voici ce que fait dire Robert Brasillach à son personnage :
"- Vous n'avez pas connu Berlin, les pétitions pour autoriser les mariages entre hommes, les femmes en bottes et à cravache sur le Kurfurstendamm, la morphine débitée presque ouvertement, un mélange affreux de vice et de ridicule."
Le fait est que partout où les juifs dominent, ils amènent avec eux l'homosexualité militante, les travestis et la drogue. Ils encouragent l'immigration de toutes leurs forces, tournent en dérision les traditions ancestrales, se moquent, à travers leurs romans, leurs journaux et leurs films, de la religion des indigènes qui les accueillent. De surcroît, par la pratique du prêt à intérêt, ils drainent à eux d'immenses fortunes et ruinent les peuples, ce dont tout le monde se plaint depuis 2500 ans (cf. L'Histoire de l'antisémitisme, 2010). Et l'on ne parle pas de toutes ces escroqueries qui défraient la chronique à intervalle régulier et dont les acteurs sont invariablement des juifs (cf. La Mafia juive, 2008). Quant au sionisme, c'est encore autre chose...
Bref, il faut le dire : les juifs nous emmerdent ! Et si l'on est aussi peu à l'ouvrir, c'est qu'ils ont les juges, les flics et les ministres à leurs bottes, et qu'ils terrorisent la population autochtone par des lois répressives. Mais tout cela ne durera pas éternellement, soyez en bien certains.
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