Samedi 29 Septembre 2012, la manifestation prévue par les Jeunesses Nationalistes de Paris sur le thème 'Maîtres chez nous' à été interdite après avoir été autorisée, à se demander si il y a quelqu'un qui a du caractère et une personnalité au ministère et à la Préfecture de Paris. Bref passons cela n'a aucune importance. La répression semble vouloir s'acharner sur les français.
Manifestation de français interdite alors que ce même we se sont réunis des racailles brûleurs de drapeaux français, gare de l'Est scandant la" France est à nous" sans qu'un seul policier dit français n'intervienne. Ce pays a été vendu à ses envahisseurs par les différents gouvernements qui se sont succédés. Revenons aux français et ne parlons pas de la racaille étrangère non blanche et mal éduquée.
A 15.00h de l'après-midi, sans défiler, en petits groupes éparses, des militants nationalistes se sont donné rendez-vous à la barbe des agents du système corrompu, sur le parvis de Notre-Dame. Mais le malandrin Préfet et ses fidèles assujettis, je parle ici des hommes en bleu, plus communément appelé CRS ou gardiens de la paix mondialiste et apatride étaient déjà prévenus, les journalistes présents auraient ils prévenu le pouvoir ? Oh non, les médias sont libres et non délateurs....
Yvan Benedetti, chef de l'OEuvre française, prend la parole, dénonce le racisme anti-blanc, le laisser faire et laisser tuer du gouvernement, un flicaillon l'insulte de merde, il rétorque plus fort ' je ne suis pas une merde' (une photo de ce flicaillon semble se promener sur la toile...) La force de conviction d'un militant nationaliste se sent à sa voix et aux paroles qui lui viennent des tripes, il harangue la foule de badauds présents devant le regard impassibles des costumés bleus.
Mais là s'arrête le côté positif de ce jour, où le système a enfin montré son véritable visage et celui de la démocratie, Yvan et ses compagnons sont encerclés, certains menottés, ils sont tous fouillés tels de vulgaires racailles ou des repris de justices, eux qui n'étaient venu que pour défendre le peuple français et lui dire qu'il était chez lui en France et que son destin lui appartenait.
Oui des français, défenseurs de la France et des libertés individuelles de parole, venus pacifiquement ont été plus mal traités que des criminels de droit commun ou que des roms reconduits à la frontière, là pas de Ligue des Droits de L'Hommes, pas D'Amnesty Internationale, alors des flics du système se sont lâchés, menottes trop serrées coupant la circulation du sang, strangulations sur des personnes qui ne se défendaient plus. Mais ceci n'est rien.
Un peu plutôt dans la journées, environ 50 minutes avant même la prise de parole d'Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac, président des Jeunesses Nationalistes, Conseiller régional, élu démocratiquement, était à la terrasse d'un bar loin du site du rassemblement en compagnie d'un ami, reconnu par les flics soumis, il est arrête alors qu'il prenait un verre et donc pas en train de manifester. Sâchez donc, en France démocratique et socialiste on arrête les gens paisibles dans les bars... Là on ne touche pas encore à l'inimaginable en République, cela vient. Interpellé donc dans un bar, Alexandre Gabriac et son ami sont acheminés vers un bus de la Préfecture de Paris spécialement aménagé pour recevoir ce dangereux criminel, tueur de bière des bars parisiens.(ceci est devenu criminel de boire à la terrasse d'un bar à Paris,méfiez vous on vous aura prévenu) Rejoint 50 minutes plus tard par les raflés du parvis de Notre-Dame, nous avons vu à ce moment là tous les interpellés monter dans ce bus et tous en bon état et en bonne santé.
Nous avons appris que les flics du détersif les conduisaient au dépôt SNCF du XVIII me arrondissement, là, ils sont parqués derrière des barbelés dans un espace qui était prévu pour au moins 300 personnes ('ceci ne vous rappelle t'il pas les Heures les PLus Sombres de Notre Histoire ?) Ce qui laisse supposé que si la manifestation avait été autorisée, il n'en demeure pas moins que le Préfet avait pour consigne des arrestations en masse.
Alexandre Gabriac a été transféré dans un autre car.... Ce n'est que 4 heures plus tard que nous apprendrons qu'il était à l’hôpital Bichat sous la surveillance même de ses bourreaux, puisqu'une rixe l'aurait amené à se faire 'légèrement tabasser par des représentants des forces publiques de la République"
Ah oui j'oubliais, non seulement la République arrête des gens paisiblement assis dans les bars, mais les fait tabasser à l'occasion par ses cerbères assermentés" Alexandre Gabriac gardera le lit-prison pendant 48 heures, ceci s'appelle une garde à vue normale pour les matons de la démocratie. On a appris de source informée que Alexandre Gabriac a eu tous les petits soins attentifs de la part des services de santé pour éviter surtout qu'il y ai des complications pour les meneurs de revus de la tête à claque qui se sont donner à coeur joie la liberté de tabasser un innocent. Menotté à son lit d’hôpital et sous bonne garde, il fut transféré lui et son lit dans une cellule de la prison, une grande première dans les annales policières, et toujours sous bonne garde, je doute que le 'terroriste Carlos 'ai eu le même traitement inique.
Yvan et Alexandre ont passé 48 heures en garde à vue, ce qui est juste le double de ce que prévoit la loi.
Il y a bien deux poids, deux mesures pour la 'justice' de ce pays', on ne s'étonnera donc plus qu'elle ne soit plus respecté...Justice, je te crache à la gueule. La suite est à venir, parce que lorsqu'un chien a enfin attrapé un os il ne le lâche plus...
Vous n'avez vu aucune émission télé, vous ne verrez pas cette arrestation, enfin peut être que si..., les médias préfèrent vous émouvoir sur le sort des noirs, des musulmans, des juifs, des roms, mais surtout pas des français. Les français n'intéressent pas les médias, sauf dans les émissions de voyeurisme pour débiles lobotomisés.
Rassurez vous un jour les français s’intéresseront de très prêt aux médias, un jour sans doute.
Le système devient plus violent à mesure qu'il a peur des français non reniés, nous sommes une force, nous sommes nombreux et nous sommes déterminés à abattre ce système. Aucune bassesse ne nous sera épargnée ni nous fera reculé, aucune lâcheté de l'ennemi nous ne fera renoncer ni aucun écu fut il d'or ne nous empêchera de marcher, de parler et de mener la grande Révolution Nationale.
Hauts les coeurs, on les aura.
Source : Jeune Nation
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