« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mardi 16 octobre 2012

Compte rendu de l'opérantion des Jeunesses Nationalistes du 14 octobre contre la conférence d'Houria Bouteldja

NON nous sommes les indigènes de l'Europe! Vous les esclaves de la mondialisation!
« La société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres.

Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux.

Un blanc gentil, on n’y croit plus ! Oui on en est là. Parce qu’on a tout fait … On a tout exploré. On est parties de chez nous. On vous a aimé e s. On a voulu faire comme vous : les filles en mini-jupe, les mecs en costard-cravate, les cheveux décolorés … on a parlé le français mieux que vous, on a mangé du porc, on est sortis avec des français, des française, on a insulté nos parents, on a rampé… On a été violents, on s’est battus…On vous a tant aimé-e-s !

Et on s’est trouvés devant un mur d’arrogance…Donc après çà, l’appel des Indigènes dit : « Merde. » Il propose de partir sur des bases saines. C’est là que c’est un cadeau qu’on vous fait. Prenez-le : le discours ne vous plait pas…mais prenez-le quand même ! il faut que vous le preniez tel quel ! Ne discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-blanc.

Si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. Cette société que vous aimez tant, sauvez-là… maintenant ! Bientôt il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »

Houria Bouteldja

Notre petit comité
Un soir, peinard, alors que comme d’hab j’administrais le blog et que j’écoutais les dernières nouveautés musicales, je reçois un coup de file. Comme 99% de mes coups de file, c’est un militant : 
« Une action est en préparation le 14 sur Toulouse, ramènes toi ! Je ne peux pas te dires de quoi il s’agit, mais ramènes toi !»

Faire chier tout les conards du système, qui légitime la destruction de la France (et de l’Europe) et sa culture, aucun problème, je viendrais avec le sourire!

«Heureusement le PIR n’a pas que des ennemis. Il a pu au contraire s’appuyer sur un éventail relativement large de soutiens qui s’est organisé tant au niveau local qu’au niveau national et international. Tout d’abord au travers de la pétition qui, en quelques jours, a recueilli plus de 1 400 signatures dont celles de plusieurs figures internationales et nationales. Mais aussi au travers de l’engagement fraternel du site LMSI, du CCIF et de l’ATMF ou enfin du comité de soutien sur Toulouse qui a réuni FSU, PCF 31, NPA 31, Europe Ecologie Les Verts MP, Parti de Gauche 31, Convergences et alternative, Générations Spontanées, Europalestine Toulouse, le CRAN Midi-Pyrénées, Egalité Toulouse Mirail 31. Qu’ils en soient tous remerciés !»

Commentaire de The Shadow sur FdeSouche

Deux petits Hic !
- Cela se passe dans une fac de fumeurs de shit
- Cela se passe au milieu d’une banlieue de vendeurs de shit
(Cela va de paire vous me direz !)

Pas de problème, quitte à se foutre sur la gueule avec les gauchistes et autres petits cocos en carton ou de se faire ramasser à coups de couteaux par la racaille.

Après avoir passé la veille au fin fond de la campagne occitane à discuter de coup d’état avec les anciens de l’OAS, me voila débarqué à Toulouse, avec comme promit, le sourire !

Deux plans étaient en œuvres le A et le B

Le A consisté à rentrer dans la faculté du Mirail par ses ailes et de débarquer dans l’amphithéâtre par la porte de secours pour crier notre colère en petit comité. Je vous passe les détails du plan pour ne pas nuire à de future opération.

Le B quand à lui était plus risqué. Si certaines formalités du plan A n’était pas remplie nous passions au plan B … c’est cette option qui sera choisie.

Idem, je vous passe les détailles, mais là aussi tout les objectifs ne furent pas remplis. Mais qu’importe, nous irons jusqu’au bout !


La pluie tombait et une sorte d’ambiance dramatique planait sur l’opé. Nous sommes donc arrivés par la porte principale de l’établissement, ou un comité d’une vingtaine de gauchistes nous attendaient. Faut dire que les « goch » ne nous font vraiment pas peur, même en surnombre on s’en moque, on serait passé, comme d’hab !

Mais arrivé aux abords de fac, nous serons bloqués par la police qui interdira le passage à Alexandre Gabriac, élu de la République. Nous entamerons ici notre petite manifestation, en plein milieu de la cité du Mirail. Les insultes de la par de la racaille commencent à fuser et ceux là commencèrent à encercler notre groupuscule. Pas de problème, comme d’habitude nous les cognerons, mais devant la police, pas le choix, il fallait attendre que la pourriture porte le premier coup, ce qui ne ce passera jamais.

Ils finiront par se faire chier et décamperont après quelques minutes par ennuis. Je vous avouerais que pour nous aussi l’attente sous la pluie fut longue. La police avait ordre de nous tenir là en attendant la fin de la conférence des idiots utiles du système mondialiste (destructeur du sang et des cultures). 

Une bonne heure plus tard cela sortiront, non seulement sous la pluie de mère nature mais aussi sous la pluie de nos slogans !

Puis ce sera la fin et le débriefing final. Nous ne serons donc pas arrivé à nos fins, c'est-à-dire, saboter la conférence définitivement. Mais nous aurons tout de même réussi à remuer Houria qui se sent un peu trop en sécurité en France, ce pays de ramollie de la couille. Puis cela à permit à certains de constater que les nationalistes sont les ennemis de toute la pourriture sociétale. Mais nous ne baisserons jamais les yeux, comme nos ancêtres, nous crèverons debout !

Nous punirons les traitres du sol et du sang, en temps et en heure!
 La Victoire ou la mort et la mort avant le déshonneur !

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