Françaises, Français, chers amis,
Les dernières élections ont permis d’accentuer la bipolarisation de la vie politique française et de vérifier à quel point le système, dans notre pays, était bien verrouillé. La mainmise du PS sur les institutions est désormais absolue, la droite courbe ayant été supplantée et le centre littéralement siphonné par le parti de l’anti-France, allié à des écologistes plus pastèques que jamais ! Le nouveau président de la République s’est empressé de faire allégeance, tant sur le plan financier que militaire, aux forces malfaisantes qui, en coulisses, travaillent à la mort des nations et à l’avènement du nouvel ordre mondial, de la pieuvre américanosioniste.
Face à l’écueil du scrutin majoritaire, l’illusion mariniste s’est évanouie. Seuls, l’avocat Gilbert Collard, girouette politique ouvertement anti-frontiste et maçon notoire, et la toute jeune et jolie Marion Maréchal Le Pen ont pu surfer sur la vaguelette bleu marine, à la faveur de triangulaires idéales.
La politique mariniste de prétendue dédiabolisation, qui s’est exprimée constamment par des concessions idéologiques majeures que tout nationaliste français digne de ce nom ne peut décemment cautionner, débouche donc sur un échec cuisant accentué par le revers personnel de Mme Le Pen et sur une impasse politique. Cette déconfiture sonne aussi le glas des espérances électoralistes que d’aucuns nourrissaient encore dans notre famille politique.
Il faut que les patriotes de France encore dupes du jeu pseudo-démocratique comprennent enfin que par les urnes, il n’est point de salut pour la France ! Et que le salut se trouve encore moins dans le reniement de nos idéaux !
C’est en dehors du système et non à sa périphérie, en rupture totale avec tous ses vices, toute la pourriture qui l’articule, qu’une force patriotique doit se dresser au plus tôt.
Oui, il est grand temps qu’un front vraiment nationaliste s’oppose à l’oligarchie composée des mercantis les plus vils. Il en va de la pérennité de notre nation et de notre civilisation.
Je vous exhorte, de toutes mes forces, à vous rassembler dès aujourd’hui, vous, autochtones de France traités en “souschiens” sur votre sol, vous tous, patriotes des mouvements d’Extrême France qui ne transigez ni sur la nation, ni sur la défense de la famille et de la vie, qui voulez renverser le Veau d’Or et anéantir la religion du mensonge, encore renforcée après l’intervention servile et repentante du chef de l’Etat.
Je mets à votre disposition ma personne et toutes les structures du mouvement que j’ai l’honneur de conduire pour permettre cette unité derrière laquelle nous œuvrons depuis si longtemps.
Il faut cesser de se complaire dans la contemplation morbide de la décomposition de notre pays. Place à l’action !
Il faut donner des coups de boutoir à ce système de plus en plus vermoulu. L’Etat prétendument socialiste entend réprimer toute action politique des nôtres avec une extrême brutalité. Il ne faut pas avoir peur ! venus dénoncer « la préférence antinationale et le racisme anti-blanc » à la gare Part-Dieu de Lyon, après l’interdiction de leur manifestation, et l’intervention du GIPN, toujours à la Part-Dieu, quelques jours plus tard, pour déloger et interpeller Alexandre Gabriac entouré de trois jeunes nationalistes, démontrent l’intransigeance des autorités à l’égard des vrais patriotes. Mais cette intransigeance trahit justement la crainte du système de ne pouvoir endiguer longtemps l’adhésion que nos idées rencontrent chez les Français non reniés, notamment auprès des jeunes. Les jeunes Français veulent ressembler à Alexandre Gabriac et ils ont raison ! Ils n’ont pas une vocation d’esclaves. C’est précisément cela la révolte des “souchiens” !
C’est en continuant à puiser dans les vertus ancestrales de notre peuple, de notre race, que nous répondrons tous présent à ce grand rendez-vous de l’Histoire, que nous restituerons la France aux Français avant de pouvoir restaurer en profondeur notre patrie charnelle.
Alors debout, les Français ! Haut les cœurs, en avant la victoire !
Maîtres chez nous !
Yvan BENEDETTI,
Président de lʼOEuvre française.
Source : La Flamme
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