Introduction :
Plus nous nous rapprochions de la date finale, plus nous sentions que celle-ci n’allait pas se dérouler normalement. En effet, c’est l’avant-veille que j’apprends que celle-ci venait d’être interdite par le préfet. La rage ! Mais avant de nous démobiliser si facilement, nous attendions la réponse du tribunal administratif.
Celui-ci rendit son verdict le samedi matin même, alors qui nous étions déjà arrivés. Après avoir parcouru, pour nombre d’entre nous, plusieurs centaines de kilomètres, hors de question de rebrousser chemin maintenant. Nous sommes venus ici pour manifester et nous le ferons quand même, quitte à être lynchés par la foule ou embarqués par les flics.
J’avais eu vent de deux lieux de rassemblement, Saint Jean d’un coté, la Part Dieu de l’autre. Nous étions plus proche de la Part Dieu, c’est donc là que nous nous rendrons. Pour ceux qui ne connaissent par la Part Dieu, c’est LA gare de la racaille, c’est là où nombre d’histoires de violes et de violences maculent de sang la réputation de Lyon. Pour avoir parcouru cette gare de nuit, je peux vous dire que celle-ci est un nid de parasites allogènes. Faire cramer la Part Dieu et son centre commercial reviendrai instantanément à éliminer au moins 25% de la racaille lyonnaise.
Exemple :
Taper « Viole Part Dieu » dans google pour vous rendre compte du nombre impressionnant de réponses sur des faits divers de ce type. Certains vous diront que c’est la faute d’une minorité de cons, ceux là même qui défendent les minorités d’où sont issu ces même cons… allez comprendre !
Ordo ab chaos
C’est donc là que nous nous rendrons, les mains vides contrairement aux dires des journalopes de gauches. Quand nous sommes arrivés, Yvan Benedetti lancé déjà sa diatribe sur les marches. Un demi-cercle de natios c’était formé devant lui et un cercle entier de racailles et de badauds. Bien sûr ceux la insultés, jouer les pas contents, outré ! Nous pouvions lire dans leurs yeux « Ho mon Dieu, regarde racaille, ne me vole plus mon portable et ne viole plus ma fille, je suis de ton coté contre les français fière d’eux même ». Seule une petite nana taillé dans une baguette de pain, aux allures de Caroline Fourest à cassé le cercle pour venir nous insulter en face. Mais nous ne tapons pas les femmes, elle se fera dégager par le service d’ordre rapidement !
Continuant de lancer fièrement, « Bleu, blanc, rouge, la France aux Français », la police commença à nous encercler. Certains comprirent que le moment était venu pour eux de partir sous peine de finir en GAV, d’autres comme moi, restèrent pour encaisser.
Une fois le cercle de CRS autour de nous, les cameras des masses-medias et les photographes avides d’immortaliser notre fierté (par ce qu’eux n’en ont aucune, ils appellent cela « La Haine ») pénétrèrent le cercle de CRS pour venir interroger Yvan Benedetti sur les raisons de cette action. Pas besoin de grande diatribe pour réveiller l’homme blanc encore muni d’une paire de couille, force est de constater que l’homme blanc aujourd’hui vit couché.
Quand Yvan eu finit de parler aux cameras, il voulut traverser le dispositif policier. Celui-ci refusa de le laisser passer, il essaya donc de forcer le passage. C’est alors que tous, unis, enfoncèrent le mur de CRS les faisant reculer d’aux moins 5-6 pas, certains d’entre nous en profitèrent pour prendre la fuite, le reste fut copieusement gazé.
En ce qui me concerne, en première ligne, je pus en ressentir les effets ! Sa c’est ce que l’on appelle de la « Putain de bombe lacrymo », de toute celle que j’ai pu gouter, en manif ou en baston, celle-ci devait être tout droit inspiré des heures les plus sombres de notre histoire, à la limite du Zyklon B. Même la peau de mon visage me brulé de milles feux, les CRS d’en face avaient les larmes qui commençaient à couler. L’un d’eux dira d’ailleurs « mais quel est le con qui à gazé ? »
Yvan lui, n’était toujours pas au sol, debout, il se mit à nous remotiver pour que nous nous levions à nouveau, fièrement ! Les slogans furent de nouveau scandaient, même le genou à terre, certains d’entre nous ne renièrent par leur serment de fidélité « La France aux Français ».
Nous pourrons même lire sur Fr3 :
« Plusieurs militants ont tenté de forcer le passage et les forces de l'ordre ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène, maîtrisant peu à peu les manifestants d'extrême droite, qui ont continué à crier "la France aux français", genoux à terre. » source : Fr3
Digne!
Heureusement aussi, des mecs de chez nous avaient prit sur eux des sérums pour calmer la douleur. Tout le monde put se relever. Là une longue attente allait s’installer. Les CRS et les policiers en tenu de tortu ninja commençaient aussi à saturer sévère. Je ne pourrais pas dire combien de temps nous sommes resté là à poiroter, mais il s’est bien écoulée une heure avant que tout le monde puissent sortir, le long de cordon de sécurité des gendarmes mobiles. Car dehors, plus d’une centaine de voyous et d’anti fa nous attendaient, même en traversant le cordon de sécurité, nous continuions de scander nos slogans. C’était sans compter aussi sur le badaud pour nous insulter. Vous comprenez, trop lâche, il fallait qu’ils montrent leur solidarité avec la racaille, rien de plus normal dans cette république maçonnique.
En faite il y avait ce jour là dans Lyon partout des nationalistes, désorganisés de toute part. De Part Dieu, à Saint Jean, en passant par la place Guichard ainsi que tous ceux bloqués sur la périphérie de Lyon.
La police avait ordre de bloquer aux entrées de Lyon tous ceux susceptibles d’être des manifestants d’extrême droite et d’embarquer tout les militants présents dans la ville. Seulement 3 antifas furent embarqué par erreurs nous dit un policier quand nous étions en GAV. Ils furent relâchés de suite.
Nous, les manifestants de la Part Dieu, avons était parqués au soleil derrière des barrières. Certainement pour nous faire bronzer un peu, après deux ou trois GAV comme celle-ci on pourra enfin dealer et violer en toute impunité !
Enfin, à travers des vices de procédures innombrables, nous serons relâchés 6h plus tard.
Entre temps, une fille de chez nous c’est fait attaquer par 6 ou 7 antifas. Ils l’ont gazé puis tabassé à coup de bouteille. Heureusement elle pu s’en sortir avec seulement quelques hématomes. Mais le geste est là … fidèle à eux même.
Sortie à 21h nous réprimes la route vers Perrache en compagnie de nouvelles têtes, pour enfin rentrer chez nous, dans nos fiefs respectifs.
Il paraitrait que les hostilités ont continuées la nuit venue, où les triplex claquèrent dans les rues de Lyon.
Quoi qu’il en soit, pour nous tous ce fut une journée de tout les diables, où nous avons gagnés en cohésion et en détermination. Rien ne pourra retirer de mon esprit ce jour, où une petite cinquantaine de faf tinrent la Part Dieu, seul contre tous, debout jusqu’à la fin !
Merci aux Jeunesses Nationalistes, merci à tous ceux présents, hommes et femmes ! Ce fut mémorable. On remet sa quand vous voulez !
Voici le texte d'un camarade, qui lui aussi était présent.-------------------------------------------------------------------------------------
Quelle liberté d'expression dans la pseudo-démocratie ?
Ce samedi 23 juin à Lyon était organisée la manifestation nommée " la révolte des souchiens" sous l'égide des Jeunesses Nationalistes et de son charismatique leader Alexandre Gabriac. Elle avait pour but de dénoncer la non-préférence nationale et le racisme anti-blanc. Comme on peut donc le constater aucun appel à la haine ni à la violence, juste une juste révolte face à la triste réalité auquel est confronté le peuple blanc à l'heure actuelle.
Mais c'était sans compter la gracieuse intervention de la préfecture qui annula avec toute sa fougue cette pacifique manifestation au dernier instant. Mais nous n'allions pas déposer les armes aussi facilement et nous décidâmes de défiler coute que coute. Nous nous retrouvâmes donc à la gare Part-Dieu et monsieur Yvan Benedetti fit un discours qui décrivit parfaitement ce que le peuple blanc vivaient et ressentaient. Il réveilla la fougue ancestrale hérité de nos glorieux ancêtres et nous invita à sortir de nos petites querelles et de nous unir tous pour le dur combat qui arrivait, tous, païens, chrétiens, nationalistes de tout bord.
Mais après ce grand discours arriva la répression du système "démocratique" dans toute sa splendeur. Nous nous fîmes encerclé par les CRS et après quelques moments nous fumes confrontés à la violence policière qui s'exprima par des jets de lacrymogènes. Nous étions tous à terre en train de pleurer mais c'était sans compter sur le courage de notre sang qui fut réveiller à l'appel de monsieur Benedetti qui nous exhorta à nous lever et à rester fier malgré la répression. Nous criâmes alors avec les larmes aux yeux " Bleu, blanc,rouge, la France aux français". Quelle preuve de courage et de détermination de la part de nos camarades.
Nous fûmes ensuite fouillé et embarqué par les CRS, cela sous les quolibets de la foule, remplis de gauchos traîtres à notre peuple et d'étrangers haineux, dont certains scandèrent "ici c'est chez nous". Mais nous restions fier et face à cela nous continuâmes à scander fièrement nos slogans, envers et contre tous. Après le trajet en bus nous fûmes parqué comme des bêtes dans des enclos improvisés, sous le soleil et sans eau ni toilettes. Après de longues heures de dépositions, garde à vue et autres, nous fûmes accusés de violences contre les CRS, le comble de tout.
Mais une autre question se pose, pour tous les français, celle de la liberté d'expression. En effet peut on interdire au Peuple français, maître chez lui, de manifester sa légitime colère. Peut-on l'en empêcher alors que l'on permet même aux salafistes français de défiler pour soutenir la révolte syrienne, conduit par des intégristes musulmans qui veulent asservir leur peuple par la dure loi de la Charia. Ceci est une injustice de plus commis contre le peuple blanc. Mais ne baissons pas les armes camarades, le combat ne fait que commencer et il sera de plus en plus rude. Nous serons là envers et contre tous, fier de défendre notre belle Patrie.
Vive la FRANCE !
Honneur et respect aux présents.
RépondreSupprimerPour ma part j'ai eu la "chance" de ne pas avoir mes papiers sur moi et d'avoir été emmené directement au poste pour des verifications d'identité et pour prendre ma déposition pendant que les autres étaient parqués au soleil comme du bétail. J'ai pu être relâché a 17H30 après qu'un camarade m'ai ramené mes papiers au poste.
A noté la cinquantaine de patriotes qui ont échappé au blocage des CRS et qui nous ont attendus et applaudis lorsque nous étions emmenés par petits groupes vers les bus pendant que nous étions hués et insultés par le reste de la foule. Certains crasseux se seront sentis pousser des couilles pendant quelque heures.
On est chez nous!!!
Bravo à vous!
RépondreSupprimerSachez que "l'ancienne génération" est fiére de "la relève"!
Même si beaucoup d'entre nous ne peuvent plus aussi souvent "battre le pavé" et faire prendre concience au peuple de l'importance de notre combat, a vos cotés pour des raisons familiales ou personnelles, notre coeur et nos poings vous accompagnent!
Notre Patrie tient encore en son sein des péres de famille fiers de notre combat et soucieux de donner une bonne éducation a leurs enfants..!
"Ils voudraient nous voir renoncer, nous ne renoncerons jamais!"
Sincéres salutations nationalistes et encore bravo a vous!