Organisé par les Jeunesses Nationalistes d’Alexandre Gabriac. Sa peut le faire !
Un samedi 14, comme la marche des cochons de l’année dernière. Un bon souvenir !
Voila comment c’est décidé le départ à Lyon pour s’indigner de la présence de l’armée française sur un sol étranger pour une cause qui n’est pas celle du peuple français.
C’est la veille exactement que j’apprends par texto que notre groupe se déplacera à Lyon. Le choix fut difficile étant donné l’abondance d’événements ce week end. Entre les concerts, les fights et les manifs … tout les natio (et pas que) de France avaient de quoi à s’amuser dans la joie et la bonne humeur.
Après quelques bonnes heures de route, entre dérapages contrôlés et remontés de la veille, nous voila arrivés à Lyon, place Carnot exactement. Premier contacte avec la foule et retrouvailles de têtes connus effectués. C’est la distribution des croix et des T-shirts. Dans cette froide attente, c’est aussi l’occasion pour les (pseudo) journaleux de venir prendre des milliers de clichés que nous ne retrouverons jamais nul par … sauf peut être chez les RG et sur fafwatch. Qu’importe !
Première consigne donné, premier mise en rang ordonné, voila la marche entamée au rythme des slogans scandés.
- « Retrait pour nos soldats, BHL à Kapisa ! »
- « Anti-Capitaliste, Anti-Mondialiste, Jeunesses Nationalistes ! »
- « Bleu, Blanc, Rouge, La France aux français ! »
Une marche d’environ 30-40 minutes, encadré par un service d’ordre au poile, mais des flics et des CRS partout. Aucune rencontre possible avec les anti-fa, dans un sens ce n’est pas plus mal, vu qu’avant tout nous devions être solennel pour cet événement dédié aux soldats. Le point de chute se trouvé sur le parvis de la cathédral st.Jean. Bien entendu le curé courageux nous en a refusé l’accès. Vous pensez bien que ce ne sont pas les couilles molles de vatican II qui allait nous donner des ordres.
Chaque croix représentes un soldat tombé
Une fois le barda installé et les troupes réunis, André Gandillon, Yvan Benedetti, Laura Lusso et Alexendre Gabriac se suivront à la barre pour s’exprimer.
Vint ensuite l’hommage solennel rendu à nos morts : après la lecture du témoignage d’un soldat ayant combattu en Afghanistan et de deux poèmes écrits par des nationalistes français, Alexandre Gabriac, le fondateur du mouvement, a procédé à l’appel des régiments des soldats tombés en Afghanistan, suivis à chaque fois de la foule répondant « Présent ».
Après le chant des Lansquenets, Alexandre Gabriac reprit la parole en expliquant que « la jeunesse nationaliste unie tenait la rue et n’était pas prête de la déserter». Il a ensuite rappelé que la jeunesse de France refusait désormais de vivre couchée et au service d’une pseudo-élite représentant les intérêts financiers. Une citation du Maréchal Pétain conclut cette manifestation : « Courage, on les aura ! ».
Quand les discours furent terminés, le temps de plier bagages, voila le retour des faf en direction de la place Carnot. Le moment venu de craquer quelques fumigènes et de déambuler le long de l'impénétrable dispositif policier. Quelques tentatives d'échappé-belle, quelques slogans rageurs et bien 15 minutes de blocages le temps de disperser les gauchistes de l'autre rive. Tout se déroula sans grief et sans interpellation de notre coté.
De l'autre coté de la rive, effectivement les rouges étaient là. D'ailleurs un commentaire sur Rebellyon permet de mieux appréhender l’ambiance :
Cette manifestation était pour moi un simulacre de contestation pour celles et ceux qui rêvent de donner un peu de piment à leur vie mollassonne. Un devant de cortège bien polissé, des élus qui se sont mis sur leur 31 pour l’occasion, des jeunes babs avec leur drapeau arc en ciel de la paix, des socialistes passés par là profitant de l’occasion pour accentuer leur campagne politique et bien sur l’incontournable van syndicaliste déversant ses propos consensuels et démagos (certes moins qu’a l’accoutumé). Bref un devant de cortège bien triste, l’arrière du cortège ayant plus d’intérêt à mon goût. S’en suit une déambulation gentillette dans les rues de la presqu’ile suivant un parcours bien défini, ayant à chaque coin de rue une brigade de police. Un service d’ordre à la botte de l’ordre établi voulant tout faire pour que rien d’imprévu ne se passe. Et puis bien sur l’arrivée sur la place Bellecour avec un magnifique discours demandant à tout le monde de rentrer vite chez soi au chaud parce que les hordes d’extrême droite risquent de déambuler dans les rues et qu’il vaut mieux les laisser faire et se mettre à l’abri. Ami, va manifester tant qu’on te le permet mais surtout n’en fait pas plus !
Cette manifestation était pour moi un simulacre de contestation pour celles et ceux qui rêvent de donner un peu de piment à leur vie mollassonne. Un devant de cortège bien polissé, des élus qui se sont mis sur leur 31 pour l’occasion, des jeunes babs avec leur drapeau arc en ciel de la paix, des socialistes passés par là profitant de l’occasion pour accentuer leur campagne politique et bien sur l’incontournable van syndicaliste déversant ses propos consensuels et démagos (certes moins qu’a l’accoutumé). Bref un devant de cortège bien triste, l’arrière du cortège ayant plus d’intérêt à mon goût. S’en suit une déambulation gentillette dans les rues de la presqu’ile suivant un parcours bien défini, ayant à chaque coin de rue une brigade de police. Un service d’ordre à la botte de l’ordre établi voulant tout faire pour que rien d’imprévu ne se passe. Et puis bien sur l’arrivée sur la place Bellecour avec un magnifique discours demandant à tout le monde de rentrer vite chez soi au chaud parce que les hordes d’extrême droite risquent de déambuler dans les rues et qu’il vaut mieux les laisser faire et se mettre à l’abri. Ami, va manifester tant qu’on te le permet mais surtout n’en fait pas plus !
Antifa, véritable ennemi du système ... mouhahaha!!!
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