Jean-Marc B. aurait dû normalement sortir de prison à la fin du mois de juillet 2011, après avoir passé 11 ans en détention. Le sort de ce détenu, que nous ne connaissions pas au moment de son incarcération, nous intéresse au premier chef, il faut le dire, parce qu’il est, comme nous, un patriote français.
On se doute que, comme jadis en URSS, il n’y a pas que des vrais malades dans les hôpitaux psychiatriques, et que certains dissidents politiques y paient le prix de leur insousmission au Système. A commencer par les nationalistes.
On se doute que, comme jadis en URSS, il n’y a pas que des vrais malades dans les hôpitaux psychiatriques, et que certains dissidents politiques y paient le prix de leur insousmission au Système. A commencer par les nationalistes.
« Je crois qu’il serait bon de faire un petit article pour dénoncer cette psychiatrisation. De fait, c’est très grave. Il suffit de deux pseudo-expertises pour te faire déclarer “dingo” et t’imposer un suivi psychiatrique et, dans la foulée, une hospitalisation d’office par arrêté préfectoral. Il y a une lettre du directeur du centre de détention de Val-de-Reuil. Les gardiens m’ont confirmé que cela venait de la direction. Donc du ministère, ou en accord avec lui. Il me semble que ce serait intéressant de relever le traitement que la racaille sarkozyste réserve aux nationalistes, ne serait-ce que pour montrer le double discours de la droite libérale.
Dans le jugement qui m’a condamné à une peine de surveillance judiciaire (incluant une injonction de soins), il est écrit notamment : « Jean-Marc B. n’a pas rompu avec ses idées d’extrême-droite ni avec une certaine forme d’antisémitisme. »
Dans le jugement qui m’a condamné à une peine de surveillance judiciaire (incluant une injonction de soins), il est écrit notamment : « Jean-Marc B. n’a pas rompu avec ses idées d’extrême-droite ni avec une certaine forme d’antisémitisme. »
[...]
Nous sommes passés ce samedi 20 août à l'hôpital, pour lui remettre un courrier. Nous n'avons pu lui parler, mais nous avons attendu sa réponse sur place. Jean-Marc est visiblement capable de lire et de comprendre, mais n'a plus la force que pour écrire quelques mots et en rayer d'autres.
Nous apprenons ainsi que le seul responsable de son séjour est le docteur Bruno Rossignol.
Quand les mondialistes accusent dans les médias, par exemple, les nationalistes de paranoïa, d’être des malades, des fous, etc., ce ne sont pas que des minables figures de style destinées à discréditer leurs contradicteurs : ils aimeraient les voir réduits à l’état de légumes, dans des chambres capitonnées, hors de vue…
Il s’agit donc de faire front et de dénoncer vigoureusement ses méthodes. C’est une raison de plus de s’opposer à ce système totalitaire.
Source : Herve Ryssen
Source : Herve Ryssen
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