Le 19 aoute un adolescent a été roué de coups dans le centre-ville de Dijon. Son père témoigne de la violence et de la gratuité de l’agression qui a fait voler en éclats la jeunesse de son fils.
Tout à coup, un individu interpelle Paulo et lui demande si c’est lui qui vient de « rayer sa voiture », il lui porte simultanément un coup violent qui fait chuter le jeune homme. S’en suit une pluie de coups de pieds à la tête et dans le dos. Atterrés, les deux amis de la victime tentent de s’interposer, mais en vain. L’agresseur est plus âgé, plus fort et sans doute mieux « entraîné ». Le jeune homme parvient à se relever et à se sauver avec ses copains en direction de la rue du Bourg, mais ils sont suivis par le voyou qui a, entre-temps, appelé du renfort. Arrivé place François-Rude, le jeune Dijonnais est rattrapé et passé de nouveau à tabac. Cette fois, l’homme n’est plus seul. Son frère et tout un groupe d’individus majeurs lui prêtent main-forte (plus d’une vingtaine, selon la victime). L’adolescent reçoit plusieurs coups de pied. Dont, un, dans l’œil. Il entend également la phrase suivante : « On casse du cblan (blanc) ! » Ses amis n’ont, effectivement, pas été pris à partie par la bande.
Mais la première réaction qui passe par la tête de ce père de famille c'est:
Avec la multiplication de telles agressions gratuites, comment ne pas craindre la montée de l’extrême-droite ? Comment vont faire les victimes et leurs familles, pour résister aux sirènes du Front national ?
Bon c'est clairement un appel du pieds pour expliquer qu'il va voter FN, mais que c'est pas vraiment sa faute, il ne peu pas résister.
Alors surtout les racailles, quand vous croisez un blanc, un peu bobo friqué, tout mou qui à l'air de fumer du shit, qui se fait des dreadlock, qui à une tête de victime, qui a des copains de couleur et qui est en age de voter, TABASSE LE! La prochaine fois il votera FN (à défaut de voter Adolf Hitler (humour)) et avec un peu de chance en 2012 vous aurez le choix entre la valise ou le cercueil!
Source : Le bien public
Source : Le bien public
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