Voici la mésaventure de Olivier Roudier qui nous prouve tout les jours le deux poids deux mesures de la gauche sionisée au pouvoir médiatique.
Midi Libre accomplit l'exploit, sous la plume de son stagiaire estival, de tartiner l'incident sur trois colonnes alors qu'il ne s'agit même pas d'un fait divers et encore moins d'une affaire politique. Le plumitif a en outre l'outrecuidance de mentionner le nom de son père Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, en train de récolter des tomates ce jour-là, à plus de 60 kms de l'incident. Le stagiaire, certainement peu au fait des habitudes du quotidien régional, semble ignorer que son journal ne mentionne jamais le nom des prévenus, ni leur origine ethnique, ou même modifie les prénoms et ne publie jamais leurs photos. Pourquoi ce traitement discriminatoire ? En général, le Midi Libre se fait le champion de la présomption d'innocence, dénonce les violences des policiers ou des vigiles et s’indigne de la surpopulation carcérale... Alors, deux poids, deux mesures ?
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