« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mardi 1 juillet 2014

Peter Goodchild - Socialisme, diversité et immigration


Avant que le multiculturalisme et la diversité ne deviennent les dogmes officiels, avant les années 70, les partis socialistes et les syndicats du monde occidental s’opposaient à l’immigration de masse, car elle affectait les salaires à la baisse et menaçait la solidarité syndicale. Aujourd’hui, au contraire, les socialistes et les gauchistes en général sont d’ardents supporteurs de l’immigration.

Pour les socialistes modernes, toute critique de l’immigration revient à « marginaliser les pauvres ». Toute preuve du fait que l’importation de main-d’œuvre bon marché cause des torts aux travailleurs locaux est simplement oblitérée. Il est impossible de convaincre un socialiste du manque de logique de sa position. Le socialisme n’est pas un point de vue rationnel ; c’est tout simplement une projection de soi en tant qu’opprimé.

Dans le passé, les gauchistes avaient un sens élevé de l’injustice. La différence est qu’aujourd’hui, ceux-ci haïssent leur propre culture et leur propre patrimoine national. Ils vivent avec un sentiment de culpabilité et de honte causé par les « injustices » commises par les impérialistes européens à travers le monde, comme l’esclavage et la taxe d’entrée imposée aux Chinois en Colombie-Britannique il y a plus de cent ans. Leur sentiment d’injustice vient avec l’avilissement de soi. Ils ont peu confiance en leur culture, n’ont aucune fierté en leur histoire et ont une très faible estime d’eux-mêmes en tant que groupe ethnique.

Une fois que ce problème de faible estime de soi culturelle est ancré, le reste suit. Ils croient que de partager la richesse est plus important que de défendre ses travailleurs et l’environnement de l’immigration massive et de l’étalement urbain, même si un tel partage créerait seulement une pauvreté universelle. Si tous les revenus du monde étaient mis dans un énorme pot et redistribué de façon telle que chacun reçoive la même chose que les autres, le résultat serait la pauvreté universelle. Si toutes les terres agricoles étaient redistribuées de façon égale, il n’y en aurait pas assez pour tout le monde. Si je donnais un milliard de dollars au monde, chaque personne ne recevrait que 14 cents. Et après de telles redistributions, la population mondiale continuerait à croître rapidement pour doubler une fois de plus, effaçant donc tout gain possible.

Les générations européennes actuelles doivent aussi croire que leur propre culture est intrinsèquement coupable des crimes commis par des générations précédentes, ce qui justifierait le traitement de faveur accordé aux immigrants, même s’ils ne furent pas les victimes de ces soi-disant crimes. Bien sûr, c’est une croyance à laquelle les « autres cultures » sont toujours heureuses d’adhérer. Et une fois que cette culpabilité a été établie comme un fait, chaque bout de papier qui apparaît en public doit à tout prix mettre l’emphase sur la compensation. Il y a même des années complètes dédiées à la « réconciliation » pour toutes les injustices commises par les Européens envers les non-Européens, qui sont toujours naturellement bons.

Les gauchistes croient que toutes les cultures sont inexplicablement égales. Dans leur naïveté, ils ne peuvent concevoir que d’autres cultures sont cruelles et intolérantes, prisonnières d’une mentalité pré-littéraire datant d’il y a mille ans. En réalité, même dans la plupart des cultures contemporaines, la personne moyenne ne peut pratiquement pas lire ni écrire, contrairement aux statistiques officielles sur l’alphabétisation. Il y a en même temps de nombreuses tribus mesquines qui se considèrent toutes comme « élues de Dieu ». Les Occidentaux d’aujourd’hui ne peuvent concevoir qu’il y a de telles différences entre la mentalité d’une culture et d’une autre. Les médias de masse entretiennent cette incompréhension en évitant de rapporter les statistiques de viols, mutilations, meurtres et autres barbarismes qui se passent dans notre monde.

La plupart des gens n’ont pas de connaissances historiques ; ils sauraient que la cruauté a été une partie importante de l’histoire. Depuis environ 5 000 ans, au Proche-Orient, différentes civilisations se levèrent en Égypte, à Babylone, en Syrie, en Perse, etc. Après une guerre entre cités-États, il était coutume de tuer tous les hommes de la cité vaincue, notamment en les empalant. Cette ancienne mentalité n’a pas tout à fait disparu, mais les Occidentaux aiment à se faire croire que le monde entier est composé de peuples bienveillants prédisposés à la démocratie et l’égalité, tant et aussi longtemps que les Européens ne leur bloquent pas le chemin avec leurs préjugés. Les nations européennes peuvent seulement « s’enrichir » grâce à l’immigration ; moins elles ont d’immigrants, moins elles sont riches en termes économique et culturel.

Très peu de ces nouveaux immigrants proviennent des pays européens qui bâtirent un monde fondé sur une tradition de démocratie, de libertés civiles, d’égalité face à la loi et de justice équitable. Nous avons plutôt des nouveaux arrivants dont le passé est le barbarisme et la cruauté provenant de pays où les dissidents reçoivent une balle dans la tête ou se font trancher les mains. En tant que nation, on nous a lavé le cerveau et nous croyons aujourd’hui que toutes les autres cultures sont d’une façon étrange égale à la nôtre, que la sharia est équivalente à la loi européenne, qu’une religion qui demande la mort des infidèles est similaire à une religion qui nous enseigne à traiter l’humanité comme des êtres de noblesse et de grâce. Pour tout cela bien sûr, ce sont nos enfants qui en payeront le prix.

Pour un socialiste d’aujourd’hui, abaisser les nations européennes à un niveau comparable aux nations non-européennes est juste et bon.

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