« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

lundi 10 décembre 2012

Dijon - Plus d’un million et demi d’euros pour reloger un squat d’anarcho-coco-punk

Exactement 1.626.852 €, c’est la somme qui a été votée par le conseil municipal de gauche de Dijon, dirigé par le maire François Rebsamen – un élu cumulard également Président du groupe Socialiste au Sénat – pour reloger une dizaine de squatteurs d’extrême-gauche se revendiquant de la mouvance anarchiste.


Hier, à l’occasion de l’inauguration de la ligne 2 du tramway, des militants identitaires de Bourgogne Identitaire ont manifesté contre cette décision, en déployant une banderole et distribuant plusieurs centaines de tracts.

Ils ont dénoncé le fait que “Cette année encore, les sans-abris de Dijon passeront les nuits les plus froides dans la rue. Cette année encore, les ménages les plus modestes devront choisir entre allumer le chauffage et remplir le frigo. Mais face à tant de précarité, bonne nouvelle ! Monsieur le maire s’apprête à débloquer une enveloppe de plus d’un million et demi d’euros pour reloger… la dizaine de squatteurs des « Tanneries » !”

“Peut-être s’agit-il de sauvegarder l’indispensable apport culturel des “Tanneries” à la vie dijonnaise, fait de concerts anarchistes, d’affichages sauvages, et de manifestations (illégales) en soutien aux migrants clandestins. Peut-être s’agit-il aussi de ménager la susceptibilité de futurs électeurs potentiels. Quoi qu’il en soit, les Identitaires de Bourgogne considèrent que ce déménagement en grande pompe aux frais du contribuable constituera un formidable gâchis d’argent public, lequel aurait été mieux employé à venir en aide aux dijonnais les plus modestes.” poursuivent-ils.

En concluant “« Squat autogéré » ? Qu’ils s’autogèrent !”

Source : Novopress

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire