Il y eu 2 catégories de résistance en France dans les années 40. Le premier groupe était issu de la frange nationaliste. Le deuxième qui nous intéresse ici était issus d’immigrés, Juifs pour la plupart et communistes. Ces derniers, contrairement aux premiers, ne sont pas entrés en guerre pour la France, mais contre l’Allemagne et d’abord pour le communisme. Ce qui fait une grande différence. Ces communistes étrangers accueillis généreusement dans notre Patrie après avoir été déjà éconduits de leurs précédentes Terres d’accueil pour activisme anti-national (excepté Manoukian), ont commencé à commettre leurs lâches assassinats et leurs attentats contre les troupe allemandes à partir de 1941. C’est à dire à partir du moment où l’Allemagne avait envahit l’URSS, ce qui en dit long sur leurs allégeances. C’était même jusqu’alors, la parfaite collaboration ; le journal L’Humanité n’avait-il pas demandé à l’occupant sa reparution dans les kiosques ?
Ces terroristes, car ils sont considérés comme tels par les règlements de guerre officialisés à Genève, étant étrangers à la nation française, ils n’avaient aucun scrupule à exposer les populations civiles Gauloises aux représailles que l’Armée allemande était contrainte d’opérer en de telles circonstances. En effet, après chaque attentats commis sur un train de marchandises ou chaque l’assassinat d’officier allemand, les bandits prenaient le maquis avec un total mépris des immanquables conséquences liées à leur acte. De nombreux innocents furent ainsi fusillés. Mais les Allemands se trompaient. A travers ces exécutions, ils pensaient punir les familles de résistants français et faire jouer les sentiments de solidarité nationale et e le lien communautaire, ces liens du sang qu’on enseignait alors en Allemagne. En vain. Jusqu’au jour où ils débusquèrent nos sauveurs. Il tombèrent alors sur des faces d’épouvantails hirsutes à poils drus et noirs, plus ou moins fraîchement sortis des ghetto de l’Est.
Ce sont de telles crapuleries, il faut bien les nommer ainsi, dans lesquelles se dévoilaient déjà leur mépris pour ceux qui sont aujourd’hui des citoyens de seconde zone dans leur propre pays, qui conduisirent au massacre d’Oradour-sur-Glane ; bien triste tragédie, dans laquelle périrent plus de 600 civils Gaulois, majoritairement femmes et enfants (Lire à ce sujet la thèse de Vincent Reynouard). En effet, une grande partie de ces soi-disant résistants, que n’effrayaient point de voir fusiller quelques centaines de Goy par-ci par-là, étaient des Espagnols, des Polonais et Roumains, dont bon nombre étaient Juifs. Pour autant, cela ne doit pas faire oublier qu’ils étaient accompagnés tout de même par quelques voyous Français. Dont l’exemple ci-dessous, nous montre la proportion 2 sur 23 (Cloarec et Rouxel).
L’exemple du groupe Manoukian fusillé en février 1944.
LE GROUPE MANOUCHIAN :
. Celestino Alfonso (espagnol)
. Olga Bancic (roumaine)
. Joseph Boczov (roumain)
. Georges Cloarec (français)
. Roger Rouxel (français)
. Robert Witchitz (français)
. Rino Della Negra (italien)
. Spartaco Fontano (italien)
. Césare Luccarini (italien)
. Antoine Salvadori (italien)
. Amédéo Usséglio (italien)
. Thomas Elek (hongrois)
. Emeric Glasz (hongrois)
. Maurice Fingercwajg (polonais)
. Jonas Geduldig (polonais)
. Léon Goldberg (polonais)
. Szlama Grzywacz (polonais)
. Stanislas Kubacki (polonais)
. Marcel Rayman (polonais)
. Willy Szapiro (polonais)
. Wolf Wajsbrot (polonais)
. Arpen Lavitian (arménien)
. Missak Manouchian (arménien)
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Missak Manoukian |
Bien sûr, cette liste trouvée sur un site mondialiste, ne précise pas en face de leurs noms le plus important : Pourquoi et pour qui ils combattaient ? Alors pour compléter les portraits, ajoutons que nos libérateurs étaient tous communistes et donc selon cette idéologie, des internationalistes et des ennemis des Nations. Ce n’est donc pas pour la Patrie qu’ils agissaient, contrairement à la légende inventée après la guerre. L’autre particularité de ces héros était, vous l’avez deviné, dans une très large mesure, leur appartenance au “Peuple arrogant et sûr de lui” comme les nommait De Gaulle. Et d’après les noms, en laissant la place aux doutes, au minimum 14 sur 23 étaient de ces “Arrogants”. C’est plus difficile pour les noms italiens car les Juifs transalpins avaient depuis belle-lurette, opté pour des patronymes passe-partout, ce qui est une de leur spécialité où qu’ils soient. En effet, pour ne pas attirer l’attention sur leurs trafics, il est plus pratique de s’appeler Colonel Gilles plutôt que Joseph Epstein(1). Enfin, notre Benjamin Castaldi national, quitte à vous décevoir, n’est pas d’origine romaine et sa lignée ne provient pas de Jules César. Tout comme la première Dame de France, Carla Bruni – Tedesco n’est pas une latine.
Le chef de cette diabolique confrérie était un certain Missak Manoukian, né en Arménie, puis passé en Syrie alors sous protectorat français. Il débarque à Marseille sans doute grâce à un réseau d’immigration clandestin (Wikipedia). Déjà !
Communiste, il est emprisonné par les autorités françaises le 2 septembre 1939, mais relâché en mai 1940, grâce aux Allemands qui sont alors liés à Moscou par le pacte de non agression (groß Fehler). Mais le communiste étant peu reconnaissant, après juin 1941, il entre dans un groupe de terroristes apatrides qui commencent à semer la terreur dans les rue de Paris. Manoukian n’est qu’un exécutant, remarqué pour son indiscipline toute orientale. Mais l’organisation est dirigée d’en haut par un certain (1) Joseph Epstein dit le Colonel Gilles, qui “appartient à une famille aisée de culture yiddish”, comme il est dit sur Wikipedia, “. “De culture Yiddish”, pour mieux noyer le poisson et assimiler le judaïsme à une culture et non à ce qu’il est vraiment, une religion sectaire. Son histoire est assez représentative de celle de ses congénères. Né en Pologne dans une famille bourgeoise, il n’aura de cesse de miner la très catholique société polonaise. Il s’engage donc au parti communiste polonais et rêve de marcher sur les traces de ses illustres congénères apatrides Trotzki (alias Lev Bronstein), Lenine (qui parle parfaitement le Yiddish) et autre (la liste est longue) Sverdlovsk, bouché de la famille impériale alias Iankel Solomon qui ont récemment mis en esclavage une partie du peuple russe et massacré le reste.
Le chef de cette diabolique confrérie était un certain Missak Manoukian, né en Arménie, puis passé en Syrie alors sous protectorat français. Il débarque à Marseille sans doute grâce à un réseau d’immigration clandestin (Wikipedia). Déjà !
Communiste, il est emprisonné par les autorités françaises le 2 septembre 1939, mais relâché en mai 1940, grâce aux Allemands qui sont alors liés à Moscou par le pacte de non agression (groß Fehler). Mais le communiste étant peu reconnaissant, après juin 1941, il entre dans un groupe de terroristes apatrides qui commencent à semer la terreur dans les rue de Paris. Manoukian n’est qu’un exécutant, remarqué pour son indiscipline toute orientale. Mais l’organisation est dirigée d’en haut par un certain (1) Joseph Epstein dit le Colonel Gilles, qui “appartient à une famille aisée de culture yiddish”, comme il est dit sur Wikipedia, “. “De culture Yiddish”, pour mieux noyer le poisson et assimiler le judaïsme à une culture et non à ce qu’il est vraiment, une religion sectaire. Son histoire est assez représentative de celle de ses congénères. Né en Pologne dans une famille bourgeoise, il n’aura de cesse de miner la très catholique société polonaise. Il s’engage donc au parti communiste polonais et rêve de marcher sur les traces de ses illustres congénères apatrides Trotzki (alias Lev Bronstein), Lenine (qui parle parfaitement le Yiddish) et autre (la liste est longue) Sverdlovsk, bouché de la famille impériale alias Iankel Solomon qui ont récemment mis en esclavage une partie du peuple russe et massacré le reste.
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Iankel Solomon |
Cependant, la manœuvre des judéo-communistes polonais, à l’instar de la tentative de ses frères allemands, échoue. Il est finalement expulsé en 1931 et rejoint tout naturellement la France où il poursuit ses activités subversives.
Epstein, engagé dans la légion étrangère, est fait prisonnier pendant la campagne de 1940. Il est envoyé dans un Stalag en Allemagne, près de Leipzig, d’où il s’évade en décembre 1940. Curieusement, il n’est pas inquiété par les Allemands, à cause de ses origines.
Dénoncé par un traître (comprenez, par un camarade communiste ayant retourné sa veste) il est arrêté en novembre 1943 avec Manoukian et fusillé le 11 avril 1944. Ce dernier, lui, sera fusillé le 22 février 1944. Allez savoir pourquoi ?
En plus d’Epstein, la cellule communiste se trouvait sous l’autorité du « triangle » de direction de la MOI (Main-d’œuvre Immigrée. Association judéo-communiste créée pour ouvrir les portes grandes à l’immigration en France (comme quoi on prend toujours les mêmes et on recommence) : Louis Gronowski15, Jacques Kaminski16, Artur London, Simon Cukier et Jacques Duclos1. Une belle brochette de gaulois excepté le renégat, Jacques Duclos.
Il faut ajouter, même si cela sort du présent sujet, que l’ancêtre de la CGT, la CGTU était impliquée dans cette MOI, de quoi expliquer, si cela ‘est pas encore compris, les liens étroits qui ont depuis très longtemps existé entre l’Internationale Communiste et le Grand Capital ; l’un se servant de l’immigration pour détruire la société et l’unité ethnique du pays hôte dans le but de s’imposer un jour, l’autre, plus pragmatique, exploitant la main-d’œuvre immigrée pour créer des conditions de chômage et de pression sur les salaires des indigènes afin d’annihiler toute revendication salariale et sociale.
Dans les deux cas, c’est le petit peuple qui souffre, les braves Gaulois un peu gouailleur, mais naïf. Puisque après plus de 80 ans de mensonges éhontés, ils s’en trouve toujours d’assez idiots pour offrir leurs voix à leurs sacrificateurs !
Lu sur : Le blog de Tancrède Lenormand
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