« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

dimanche 30 octobre 2011

La France qui gagne , sacrifiée sur l'autel du politiquement correct


Pour la cinquième fois consécutive de sa carrière, un Français a été sacré champion du monde. Devant tout le gratin international de cette discipline sportive créée aux États-Unis. Et aucun média national ne lui accordera une minute de son temps ou quelques lignes de ses précieuses pages papier. Aucun politique ne s’exprimera pour lui témoigner la reconnaissance et la fierté de la nation pour ses exploits sportifs. Notre président lui-même ne le recevra probablement pas à l’Elysée et ne lui décernera sûrement pas une quelconque médaille pour le remercier d’avoir fait hisser haut le drapeau de la République dans le ciel de Rhodes…

Pis que ça, il y a quelques années, la ministre de la Jeunesse et des Sports en place avait tout fait pour supprimer la discipline pratiquée par notre champion, déjà reconnu au niveau international…

Seule la fédération sportive dont il dépend s’est pour l’instant fendue de trois lignes sur son site Internet, reconnaissant tout de même que ce palmarès est inédit dans l’histoire de la fédération… Ce champion, quelques-uns auront évidemment déjà compris de qui il s’agit, c’est Eric Grauffel. Sa « faute », aux yeux des « bien-pensants », c’est de pratiquer l’IPSC, enfin, le TSV (tir sportif de vitesse), pour reprendre l’appellation « franco-française » de ce qui se nomme partout dans le monde « Practical Shooting » (tir pratique) – soit une discipline de tir issue, il est vrai, de l’entraînement des professionnels armés au tir de combat (brrrr !) mais qui, aujourd’hui, n’a plus grand-chose à voir avec ces origines, que ce soit dans le matériel utilisé ou les tenues des participants.

Le TSV d’aujourd’hui est au tir « de police » ce que le biathlon est à l’entraînement des troupes alpines (appellation d’origine « patrouille militaire à ski »), ce que l’escrime sportive moderne est à l’escrime de duel de nos aïeux (lorsque ceux-ci s’estourbissaient à grands coups d’épées ou de sabres), ce que le lancer du disque, du poids, du marteau ou du javelot, est à l’entraînement des soldats de l’antiquité au lancer de diverses armes de guerre utilisées alors…

Et pourtant, autant nos biathlètes, nos escrimeurs, nos lanceurs de disque, de poids, de marteau ou de javelot ont droit à la reconnaissance de tous lorsqu’ils gagnent, autant Eric Grauffel gagne dans l’indifférence la plus totale… Même nos tireurs à l’air comprimé ont droit à leur minute de « gloire » lorsqu’ils nous offrent un titre mondial ou olympique. Mais pour le cinquième titre mondial consécutif d’Eric Grauffel, c’est le silence le plus assourdissant. Pourquoi ?

Parce qu’il pratique une discipline sportive dont l’outil est une arme à feu, tout simplement, et aujourd’hui, dans ce monde que certains voudraient aseptiser à l’extrême, l’utilisation d’une arme à feu est obligatoirement synonyme de violence et doit être bannie. A ce titre, ils préfèrent ignorer ce champion, ne pas lui témoigner la fierté et la reconnaissance de la nation, taire sa performance. « On » ne sait jamais, ça pourrait donner une image trop positive des armes ou inciter les jeunes à s’y intéresser.

Il est clair que l’UNPACT ne peut pas accepter cette situation absurde et indigne de la République et du sport français, et à ce titre fera entendre sa voix auprès de notre ministre des Sports afin qu’Eric Grauffel soit enfin reconnu à sa juste valeur et que son exploit soit connu de tous les Français.


Source : STBesancon

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