« L'expression la plus simple du nationalisme est la défense de la Terre et du Sang.
Quel homme digne de ce nom ne défendrait pas sa famille ni son habitat ?
Alors le nationalisme étend cette vision de la famille à son peuple et celui de son habitat à sa nation ! »

mercredi 21 septembre 2011

Solidarité avec Jean Baptiste Santamaria victime du harcèlement syndicalo-marxiste

Nombreux sont ceux qui connaissent Jean baptiste Santamaria, ce professeur de philosophie de Lunel, dont l'éloge n'est plus à faire : père de famille, tri-athlete, pédagogue de haut niveau, ancien syndicaliste, reconverti à la force du poignet alors qu'il avait débuté sa vie professionnelle comme ouvrier métallurgiste dans le Nord... un parcours qui aurait pu (du) se conclure par l'attribution des palmes académiques

Mais Jean Baptiste doit porter sa croix : il a fréquenté, il y a des années, l'hydre à plusieurs têtes qui porte le nom de Front National, MNR, Bloc Identitaire... Dans chaque pays du monde, excepté les dernières dictatures communistes, il s'agirait d'un non-évènement ... pas en France. Dans ce pays où des groupes d'enseignants font descendre les écoliers dans la rue, où ils pétitionnent pour n'importe quel clandestin, où ils professent le nihilisme le plus abject, Jean Baptiste Santamaria, qui aux dires même du rectorat n'a jamais fait l'objet d'une inspection négative, a subi un harcèlement infâme depuis dix ans, déplacé régulièrement à chaque rentrée, de placard en placard.

Par miracle, ou par une de ces incongruités dont l'administration française a le secret, Jean Baptiste s'était vu affecté, début septembre 2011, à un poste correspondant à ses diplômes au Lycée Victor Hugo de Lunel. C'en était trop pour les chiens de garde de la bien pensance syndicalo-marxiste (Syndicat national de l'Enseignement Secondaire/Fédération des Conseils de Parents d'Elèves) qui lançaient aussitôt une campagne de harcèlement, largement relayée, par les médias, obtenant finalement, malgré le soutien que lui apportent ses élèves et deux semaines d'enseignement sans incident, que lui soient retiré ses classes et qu'il soit mis en maladie jusqu'à la retraite, avec l’aval d’un obscur "Conseil Médical Départemental" qui n'est pas sans rappeler les heures les plus noires du totalitarisme stalinien.

Jean baptiste Santamaria, sans illusion sur sa démarche, vient d'adresser une lettre à la Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations), dans laquelle il dénonce "un cas manifeste de harcèlement moral, ce dernier épisode s'ajoutant à une longue liste de brimades et de vexations indignes de cette administration...".
France-Solidarité qui étend désormais, au-delà des prisonniers d’opinion, son activité aux discriminations grandissantes dont sont victimes les Français a décidé de prendre en charge ce dossier emblématique auquel elle compte donner une suite judiciaire et extra-judiciaire proportionnelle à la gravité des faits.

Nous avons besoin de vous pour assurer une défense efficace à Jean Baptiste Santamaria (Tribunal administratif et pénal)
Envoyez vos dons (contre remise d'un certificat de déduction fiscale de 66%) à

Entraide-Solidarité
BP 4-7187
30914 - Nîmes Cedex

entraidesolidarite2000@gmail.com

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